Mon passé [2/2]

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- (ATTENTION) Ce chapitre contient de la souffrance psychologique, de la souffrance, une dépression, mutilation, détresse, harcèlement, du suicide et autre.


- (ATTENTION) A NE SURTOUT PAS REPRODUIRE


- Alors si vous voulez pas lire ce chapitre passez au suivant



PDV Katsuki :


Quand je me suis levée du lit et que je suis aller voir mes parents qui devaient surement dormir vue que je ne les voyais pas, certes j'avais que 10 ans et que je devais être autonome mais j'avais toujours besoin de mes parents pour quelque chose, en entrent dans leurs chambre ils était pas la, ils avaient du déjà partit au travaille sans me prévenir comme d'habitude, parfois je me demandais s'ils ils m'aimaient réellement, partir sans dire a son fils et surtout qu'ils partaientpendant plusieurs jours, semaines voir même pendant plusieurs mois et ça sans rien me dire, je devais restais la a attendre comme si j'étais un chien qui garder la maison.


C'était bientôt l'heure d'aller à l'école et je voulais vraiment pas, je me fessais harceler des que j'entrais à l'intérieur et ça jusqu'à que je quitte l'école, j'avais souvent des bleus au ventre, au bras, au poignet, au cheville, tout ça parce que j'étais un Oméga mais c'était qu'un prétexte pour me faire du mal, pour eux c'était qu'un jeux marrant qu'ils adoraient jouer, même si je me soignais tout seul ça server a rien vue que le lendemain ils me les fessaient enlever de force, ça les fessaient bien rire tout ça alors que moi pendant ce temps la je souffrais.


Je dormais a peine, je pleurais tellement, mes cauchemars affreux me fessais vivre un enfer pendant la nuit, ce que personne ne savait c'était que je me tranchais la peaux avec une lame au poignet et que j'aimais vraiment ça, voir le sang coulait de la plaie m'émerveillais a chaque fois, voir mon sang coulait jusqu'au sol comme si je me vidais de mon sang c'était juste merveilleux, je crois bien que même j'étais a force qu'on me frappait que j'aimais ça, a chaque fois quand je rentrais à la maison en pleure je partais me soignais du sang qui coulait de ma peaux, mon sang était si amer, voir le sang sortir de la plaie ne me fessait plus rien maintenant.


Rose me rendait souvent visite mais je cachais mon mal être avec un faux sourire que j'avais l'habitude de faire, elle pouvait pas sentir mes phéromones vue que je prenais des suppresseurs comme tout Oméga qui aller à l'école, je le cachais tellement bien que j'étais même devenu une habitude pour moi, cacher son mal être par de faux sentiment et des faux sourire me plaisais vraiment pas, mes parents n'étaient même pas au courant vue qu'ils n'étaient jamais la pour moi de toute manière, je prenais en cachette chez Rose des médicaments qui me fessais du bien, pour oublier toute cette souffrance que je subissais chaque jour même le week-end, le week-end c'était que moi même qui me fessais souffrir tout seul.


J'avais perdus du poids et de l'appétit, je mourais en silence pour éviter que quelqu'un essaye de me sauver de cette enfer, une fois sans faire attention j'avais couper trop profondément et je voyais bien que je perdais beaucoup trop de sang mais je fessais rien a par regarder, ma vue ce flouter et Rose était venu au même moment et m'avait sauver la vie, quand j'étais à l'hôpital je pleurais de ne pas être mort, être loin de tout ça être en paix avec moi même, a la sortit de l'hôpital je devais aller voir un psy tout les jours mais je ne disais rien des que je la voyais, je préférais ne rien dire que plutôt qu'elle m'aide avec mes problèmes.


Malheureusement j'avais recommençais et Rose m'avait encore sauver la vie, même quand j'avais fait une surdose de médicament, elle était toujours la quand j'avais le plus besoin, j'espérais qu'elle vienne m'aidait des que je fessais une grosse bêtise et qu'elle m'évitait d'aller au ciel a mon âge, le pire c'est que ça avais durer depuis que j'avais rentrer au collège, mais ensuite quand mes parents sont mort 2 ans plus tard c'était trop pour moi et je m'étais jetais du toit du collège, j'étais dans un coma profond avec de grave blessure, une fois guérie j'avais repris conscience bien plus tard sans cicatrices, un miracle parmi tend d'autre.


Après j'ai du m'occupais de tout ce qui était papier, avoir l'héritage, entretenir la maison, payer les factures, faire les courses, aller à l'école, faire a manger, le ménage, la lessive, repasser le linge, acheter des vêtements, j'ai du tout apprendre seul comme un grand sans l'aide de personne, Rose ne pouvait pas venir car elle avait des problèmes avec sa famille alors parfois même si je comprenais pas j'essayais de le faire, c'était dur pour moi tout ça, être déjà un adulte alors que j'étais jeune c'était vraiment pas amusent, surtout que je pleurais souvent de la perte de mes parents, je me plongeais dans une tristesse interminable, après les années avait passaient et j'avais plus d'argent pour payer les factures et l'école.


Je suis aller le jour ou les huissier aller venir au cimetière avec la pluie, je m'étais pas protéger et je m'en foutais d'attraper quelque chose, j'avais entretenu leurs tombe comme je le fessais souvent puis il fallait bien rentrer pour prendre des affaires, une fois avec mon sac d'affaire je suis partie en ferment la porte d'entrée pour la dernière fois, j'avais perdu l'endroit ou j'avais grandit, ou j'avais tout mes souvenirs avec mes parents, cette maison était remplie de souvenirs bon comme mauvais et je l'avais perdus, puis je m'étais endormis sur un banc comme un clochard.


Je m'étais arrêtais dans mon récit car je devais aller prendre l'aire, de l'aire frais, une fois dehors je m'étais écroulais contre un mur en pleure, Rose était venu et m'avais prit dans ses bras en pleure elle aussi, après plusieurs heures je m'étais calmais et je suis partie voir la psy avec Rose qui m'accompagnait, une fois sont accord de pouvoir sortir je suis rentrais à la maison, quand j'avais ouvert la porte j'étais surpris et émue.


- Izuku : Bon retour à la maison petit frère


- Katsuki : Merci *A les larmes au yeux*


Après un bon câlin collectif on avait fait la fête et je m'étais presque assoupie, Izuku m'avait couchais et couvert.


- Izuku : Dort bien


- Katsuki : *A peine réveillé avec une voix faible* Dort avec moi


- Izuku : D'accord


Il vient dans le lit et je me réfugiais dans ses bras, je m'endors paisiblement avec le doudou dans mes bras et dans les bras musclé d'Izuku, un merveilleux rêve m'attendais.


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COUCOU LES LOULOUS,


C'est la fin du chapitre trente et un.

Tu seras et resteras celui que j'aime [Tome 1] [DekuBaku] [Omegaverse]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant