partie 44

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Pourquoi se voiler la face sur tant de choses alors que nous connaissons la vérité. Pourquoi c'est quand les gens meurs que nous réalisons à quel point ils étaient important pour nous.
En Afrique comme dans le monde entier la venu des Gens du village en France à provoquer beaucoup de Problèmes chez tantine Oumou les frères et sœurs qui font semblant de pleurer tout en tenant de mauvais propos sur la défunte , mes oncles surtout tonton ladji qui  comptait sur l'argent des cotisations pour les obsèques pour s'acheter de nouveaux costumes. Face à toute cette scène je n'étais que moi Amina une jeune femme de 19ans   c'était ma mère qui était morte mais je n'avais pas mon mots à dire sur la situation c'était tellement décevant pour moi je me demandais juste si les dernières volontés de ma mère seront respectés  se faire enterré prêt de sa maison au village.

Aujourd'hui je me fais à l'idée que ce sera une succession de rediffusion, j'avais peur de voir sa dépouille dans ce cercueil même-ci c'était irréversible c'était quelques choses qui devait vraiment se produire.
Malick était  présent les derniers jours va savoir pourquoi ! Mais la seule chose qui donnait du piment à mes journées c'était quand kessim et moi nous nous retrouvions au coin de la rue à 19h  c'étais l'un de mes moments préférés il était là assis dans  cette bouangerie , j'étais très moche avec mon foulard et mes yeux tout rouges mais il n'en prennait pas compte il me regardait avec ces yeux de petit chat.

Kessim: enfin tu daigne nous honoré de ta présence

Moi: kessim je suis en retard de 7min et je te rappelle que c'est pas facile avec ce gros ventre

Kessim : n'accuse pas le petit prince.

Moi: la solidarité masculine est vraiment triste

Kessim: tu trouves ? Pas nous

Il fait une petite tape sur mon ventre comme-ci il se tapait les mains . Je me suis mis à sourire

Kessim : j'aime bien

Moi: quoi ?

Kessim: te voir  sourire    .

Moi: pourquoi ? Tu m'observes !

Kessim: n'importe quoi la moche je regarde juste parce que ta mocheté dévient un spécimen

Moi:pouah deja que Dieu te pardonne de dire ça.

Kessim : c'est un blasphème , j'ai pas trouver de mots assez puissant.

Moi:bah c'est facile : beauté....

Kessim : arrête de te drogué amina c'est pas bon pour le bébé

Serveuse : bonsoir

Nous: bonsoir

Serveuse : qu'est ce que je peux vous servir ?

Moi: le même délicieux gâteau à la crème avec des macaron

Kessim: la bagra puff.

Moi: Pardon ?

Kessim: rien .. euh moi je vais prendre juste une boisson.

Serveuse: d'accord je vais prendre vos commandes et je reviens.

Elle est  retourner au comptoir

Moi : kessim? Déjà tu m'a traité de bagra comme ça ouvertement tu veux mourir ?

Kessim: ma mère tient encore à moi Amina je te rappelle

Comment je me sentais si bien avec lui , je n'étais plus celle que je pensais être en même temps , pour moi je suis tellement de personnes avec différente personnalité.  Mais je pense que j'étais vraiment moi avec kessim il ne me traitait pas comme un objet et il prenait toujours en compte ce que je disais .
La serveuse revient avec les commandes quand j'ai vue le gâteau il était tellement délicieux à la vue

mon mariage forcé à l africaine Où les histoires vivent. Découvrez maintenant