mon mariage forcé à l africaine

partie9

Je me réveille dans ma chambre alerté par des pleures de ma mère au chevet du lit j'ouvre les yeux il y avait tanti oumou , ma mère et tonton ladji.

Quand ma mère à vue que j'ai ouvert les yeux elle me prend dans ces bras.

Ma mère : oh merci mon Dieu ma fille s'est réveiller ! Sa va Amina?

Moi : .......

Tonton ladji: *crie* quand ta mère te parle répond sinon je vais te frapper correctement petite impolie.

Moi : oui

Tonton ladji: ton mariage va se déroulé dans 2 semaines .

Moi: *pleure* maman ........*pleure* pourquoi vous me faites ça ? J'ai pas envie...

Elle: c'est ........ *en me caressant le visage* c'est pour ton bien.

Moi : pourquoi ? *crie* tu es de mèche avec eux c'est ça ?

Elle : silence......

J'étais confuse les larmes commençaient à couler tout seule , j'essayais de me convaincre que ce n'était pas possible pas ma mère , pas ma yemma tout sauf ça .

Moi: maman regarde moi dans les yeux et dis moi que c'est une blague?

Elle: ..................

Elle avait les yeux au sol.

Tonton ladji: la ferme ! Ne crie pas sur nous.

Il me met une gifle , je n'avais pas mal tant que sa ce qui me fesait mal c'était l'indifférence de ma mère .elle ne parlait pas et nous regardait juste.

Moi: de toute façon Ce mariage se fera sans moi !

Tonton ladji: et tu comptes faire quoi ? Tu n'as pas ton mot à dire la dedans nous avons déjà accepter la dote .

Moi : vous êtes sourd ou quoi? Je vous dis que ce mariage sera sans moi!

Tonton ladji: la discussion est close ce mariage aura lieux.

Il est sorti de ma chambre en cliquant la porte .j'étais tellement en colère que je fermais ma bouche pour ne rien dire de sauvage .

Tanti oumou : écoute moi bien petite impoli mal élevé tu as intérêt à ne rien tenter sinon je te le ferai regretter.

Elle me toise et sort de la chambre il ne restait que ma mère et moi dans la chambre.elle n'osait toujours pas me regarder dans les yeux , ni même me parler.

Moi : maman comment tu as pu les laissé faire ça ?

Elle: si ils l'ont fait c'est pour toi, pour ton bien !

Moi : de quelle bien tu parles maman ? Vous m'avez vendus .

Je me suis remis à pleurer

Elle : un jour tu comprendras !

Moi : jamais je n'épouserais ce garçon.