CE QUE MON COEUR DÉSIRE

Chapitre 10

"Stéphanie : (enthousiaste) Je pense que pour ce soir, on va se concentrer sur la future mariée les filles!

Moi : Bien sûr!!! Félicitations Gigi!!!!"

J'allai la serrer fort dans mes bras.

Mya et moi échangeâmes un regard lourd de sens.

Elle me toisa avant que, finalement, nous nous prenions toutes dans les bras.

Du calme Karly, du calme.

Self contrôle.

"Giuliana : Je suis tellement heureuse que vous soyez là!

Mya : (sourire) Et nous donc!

Stéphanie : On va laisser Lyly s'occuper de toi et on se retrouve plus tard.

Moi : Vous pouvez rester pendant que je lui fais sa manucure et vous nous laisserez ensuite pour le massage si vous voulez!

Mya : Géniaaaaaaaal"
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Quelques heures plus tard.

Je venais de finir la session beauté de Gigi.

Pose de cils, manucure et pose de vernis avant un bon massage du dos pour chouchouter et détendre la future mariée.

"Giuliana : Je ne sais pas comment te remercier Lyly!!!! Ça m'a fait un bien fou.

Moi : Tu ne me dois rien! (Rires) Ça me tenait vraiment à cœur de te chouchouter.

Giuliana : (admirative) Tu sais faire tellement de choses! Mes ongles et mes cils sont superbes!

Regardes, nous sommes assorties! (Rires)"

En effet, elle avait choisi d'avoir une jolie french transparente et blanche classique, en amande par contre, avec quelques strass.

Splendide!

"Moi : C'est parfait pour y faire glisser une alliance avec le zoom des photographes et du caméraman! (Rires)

Giuliana : (rires) Je n'aurai pas pu être aussi belle! Et je suis bien détendu grâce à ton massage.

Moi : (sourire) Tu seras vraiment radieuse tout à l'heure dans ta robe de mariée.

Giuliana : (émue) Merci ma Lyly."

Elle me serra fort dans ses bras et essuya quelques larmes.

"Moi : (rires) Gardes tes larmes de joie pour demain ma belle.

Giuliana : (petite voix) Ca va aller..."

Oh, oh...

Je lui tendit un mouchoir.

Afin de ne pas l'embarasser, j'allai ranger ma valise professionnelle.

Les employés de l'hôtel viendraient un peu plus tard récupérer et ranger la table de manucure, ainsi que la table de massage.

"Giuliana : Je suis désolée. Je ne dois surtout pas abîmer ton chef-d'œuvre.

Moi : (réconfortante) Ça ira ne t'inquiètes pas.

Giuliana : Avant de vous rejoindre, j'étais avec ma mère et mon frère...

Ce n'était pas facile...

Moi : Tu veux en parler?"

Elle s'assit au bord de la piscine et plongea ses jambes dans l'eau.