Bonjour bonjour les amis de Wattpad!
J'ai rajouté cette partie à l'histoire car j'ai récemment été interviewée par une camarade de 20Lines sur l'écriture et sur LCFH et j'explique pas mal de choses concernant Nathan, son histoire et je justifie mes choix... (C'était génial!). Enfin bref j'ai l'autorisation de la partager avec vous, alors tada!
Mon interview par D. Bugs:
"Bonjour, bonjour,
On se retrouve de nouveau ce mois-ci pour un nouveau livre. J'ai choisis : "Love comes from hate" de Emily Peters.
Je la remercie encore grandement pour avoir accepté de passer à Book Mag et je vous recommande vraiment ce livre !
- Pourquoi avoir choisis de mettre un titre en anglais ?
Le titre en anglais, c'est très simple, c'est juste que je n'avais aucune idée du titre que j'allais choisir et que l'anglais me semblait plus classe. J'avais tellement hâte de poster que je n'ai pas vraiment réfléchi à ça... D'ailleurs, si vous remarquez bien, ce titre contient une faute linguistique ! Eh oui, surprise ! La « haine » se dit hatred, mais au fil du temps, j'ai tout simplement décidé de laisser comme tel, après tout, ça peut aussi designer le « je t'aime vient du je te déteste » et les gens s'étaient tellement habitués... C'est assez étrange, je sais. Je ne vois pas d'autre explication, je regarde énormément de séries télé et elles sont toutes anglophones, alors j'ai dû être considérablement influencée concernant la langue, comme dans la plupart des titres que je donne, en fait. L'anglais est une langue que je maitrise très bien alors... Ce doit être la raison, il n'y pas vraiment de message subliminal là-dedans.
- "Love comes from hate" est écrit du point de vue masculin. Pourquoi avoir fait ce choix ?
Ah ! Une question très très intéressante, pour moi comme pour vous. Là encore c'est simple : Originalité, fun, et liberté. Les mots d'ordre. Les points de vue masculins sont des mines d'or trop rarement exploitées ! C'est l'opportunité de se lâcher un peu, de voir les choses sous un autre angle et de sortir du gnangnantisme campé par le cerveau d'une fille. J'ai trouvé ça drôle de pouvoir me glisser dans la peau d'un spécimen du sexe opposé. J'ai pas mal de garçons dans mon entourage et j'ai toujours eu des affinités avec eux, je suppose que c'est parce que j'ai le caractère pour, mais il y a aussi cette sorte de fascination. Je les ai toujours admirés. J'affectionne énormément leur façon de penser, parfois simpliste, parfois plus compliquée. Un garçon pense à toutes les choses qu'une fille ne pense pas toujours et il se permet beaucoup de choses, beaucoup plus de choses. Il peut se permettre d'être arrogant, d'être un véritable connard, d'être une sorte d'athé de l'amour, du genre qui n'y croirait pas pour un sous et de pouvoir lâcher des répliques explosives ou carrément lourdes sans qu'on le range dans une catégorie précise. Et puis j'ai pris énormément de plaisir ! Je veux dire, il n'y a que par la fiction qu'on puisse se mettre dans la peau d'un garçon et essayer de penser comme lui, c'est vraiment rafraichissant. Parfois, quand j'ai un problème ou qu'il se passe quelque chose, j'essaie de penser à ce que ferait un homme et je comprends mieux. Vous pensez que c'est de la schizophrénie ? Je devrais peut-être pendre les pilules qu'on m'a prescrites il y a des mois de ça. Oh, non, attendez, Roger (A.K.A mon double maléfique) n'aime pas les pilules.
- Le personnage Nathan est intriguant peux-tu nous en dire plus sur ce personnage ?
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Love comes from Hate
JugendliteraturNathan Bellamy déteste les stéréotypes. Et pourtant, à presque dix-huit ans, son existence-même est celle de l'adolescent rebel, sarcastique et imprévisible que tout parent sain d'esprit craint d'avoir. Involontairement roi du lycée de Burwell, sa...