Chapitre 28

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San Diego. CA. 21 décembre. 11:31.
Université d'USD.

Bien que je me suis mise en tête de récupérer Elyo, du moins que nous puissions discuter à des fins amicales ou peut-être amoureuse.
Je ne préfère rien affirmer puisque les seuls pauvre intérêts qu'il a oser m'accorder sont de ridicules sourires narquois et mesquin après avoir embrassé ou touché une nouvelle fille. Ce qu'il vient de faire il y à a peine deux minutes.
Non, ce n'était pas sa blondasse dont son nom m'est trop lointain. Nola ? Mila ? Nila, je crois. Bon après tout on s'en fou.

Mais en tout cas, depuis un peu plus d'une semaine, il s'en est tapé trois nouvelle.
Plus cliché de livre, tu meurs !

Bon, je ne vais pas vous le cacher, je ne vais pas faire semblant... J'ai mener mes enquêtes et j'ai beaucoup analysé. Non, je ne suis pas une psychopathe.
Ou un peu, peut-être...

Bref, il y a eu Claire une brune au yeux bleu a l'allure pas très original mais au physique exceptionnel, chacune de ses courbes larges étaient magnifiquement mises en valeur.

Trois jours plus tard, Cléo une brune aux mèches coloré bleue correspondant à la perfection avec ses yeux de la même couleur. Ses vêtements court ne dissimulaient pas sa peau pâle et sa chair légèrement duveteuse mais les mains d'Elyo avaient l'air d'apprécier.
Et pour finir, celle qui vient de décrocher ses lèvres gluantes et rouge d'Elyo il y a quelques minutes s'appelle Stella. Ses cheveux bordeaux bouclés tombe en cascades sur ses épaules descendant dans son dos. Ses yeux gris miroitant avec les nuages foncé parfaitement accordé à mon humeur.

Et il n'est que 11 heures 30 du matin !

Putain, donnez moi une clope et un chocolat chaud que je décompresse avant de passez mes nerfs sur le premier que je vois !

Et dire que c'est un mec qui me fait cet effet... brûlez moi, j'ai honte !

Je sors du hall dans lequel je m'étais réfugier en sortant du cours de littérature européenne et me dirige vers le jardin de l'aile droite après avoir foncé sur la machine à café, qui dans mon cas me procure essentiellement du chocolat chaud.
Je sors une cigarette, la brûle avec le Zippo de mon papi et les premières touches de nicotine me caresse la gorge. L'herbe légèrement humide sous mes fesses est plutôt agréable, je prend une gorgée de ma boisson chaude, une nouvelle taffe de ma clope et je me détend enfin.

La situation dans laquelle je me situe vis à vis d'Elyo s'éloigne petit à petit quand la silhouette de Lou me parviens.
Je crois bien que je suis contente de la voir, elle et sa mine toujours joyeuse et pétillante. Je m'en veux de n'être qu'une camarade de classe pour elle alors que je sais qu'elle aurait préférée qu'on soit amie.
Je lui ai expliquait pourtant que je n'aimais pas bien la compagnie des êtres humains et que je préférait lire, écouter de la musique, dormir, cuisiner, boire du chocolat ou fumer.

Des activités de solitaire quoi !

Mais malgré ses airs de gentille filles souriante, j'ai peur que ce soit de l'hypocrisie.
Et puis, même si elle me répète que ça ne la dérange qu'on ne soit pas si proche que ça, je vois bien que ça la dérange bien plus qu'elle ne le prétend.

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