𝘢𝘩, 𝘭𝘰𝘰𝘬 𝘢𝘵 𝘢𝘭𝘭
𝘵𝘩𝘦 𝘭𝘰𝘯𝘦𝘭𝘺 𝘱𝘦𝘰𝘱𝘭𝘦...
Rosalia Angioy et Tom Jedusor sont deux entités qui gravitent irrémédiablement dans le même espace, condamnés à se jauger, à se tenter, se repousser et se haïr. Leur passion irrévoca...
you taste like the fourth of july, malt liquor on your breath, my, my...I love you, but I don't know why...you can be the boss, daddy, you can be the boss. taste like a keg party, back on the sauce, like you a lot, like you a lot, don't let it stop.
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- Mademoiselle Angioy, nous ne voulons pas occuper trop de votre temps alors nous irons droit au but, commença l'un des deux aurors qui lui faisait face dans le bureau de son directeur de maison, auriez-vous la moindre information sur Grindelwald, ces agissements prochains qui pourrait selon vous nous être utile ?
Voir des traits familiers la rassurait plus que ne l'avait fait les aurors anglais qui n'avaient cessé de vouloir l'interroger durant sa convalescence à Sainte-Mangouste. Mais l'œil brillant de curiosité de Dumbledore détruisait cet effet de plénitude. Elle pinça ses lèvres et ne sut quoi dire. Après lui avoir redemandé de situer l'endroit où ils étaient, le nombre de personnes présentes et les circonstances de son enlèvement, il fallait bien qu'ils arrivent à ce dont elle ne voulait pas réellement parler. Le fait que tout cela n'avait été que de la cruauté pure, et que n'avait rien changé à la situation de cette poursuite.
- Je ne crois pas, il ne m'a kidnappé que par ma malchance de m'être trouvé là et pour faire payer mon père, alors je ne l'ai vu qu'au départ et des partisans, un en particulier, m'a torturé le reste du temps.
Rosalia avait déclaré cela dans le calme et l'indifférence la plus totale pour espérer que cela marche sur elle-même, pour qu'elle croit qu'elle pouvait voir cela d'un œil objectif. Comme ils le faisaient tous autour d'elle. L'auror auquel elle avait répondu hocha la tête avant de la questionner sur ce partisan qu'elle n'avait pas nommé.
Elle fixa les yeux de son interlocuteur sans même les voir, en déformant lentement leur couleur dans son esprit, en déformant la scène autour d'elle. De retour en Sicile, l'Etna semblait prendre sa source volcanique dans son corps tant sa rage bouillonnait devant Dimitri.
- Dimitri, dit-elle la voix plus hésitante, il était russe et il avait plus ou moins la quarantaine.
- Dimitri Iermilov ? prononça Dumbledore en retour à son affirmation.
La jeune fille haussa les épaules, elle connaissait bien sa voix et son sourire et que son nom de famille et toute sa petite vie.
- Il n'a pas pris le temps de me faire une biographie détaillée, le ton sec, Rosalia s'en voulut rapidement de ce froid soudain envers son professeur.
Il ne sembla pourtant pas y accorder la moindre importance et se contenta comme les deux autres hommes d'hocher la tête. L'auror qui ne s'était pas encore adressée à elle mais qu'elle connaissait pourtant, finit par prendre la parole :
