Scott
Emily Denison fait de l'aqua-gym le lundi midi, du yoga le mercredi midi. Enfin, faisait. Depuis ses excuses, nous couchons ensemble deux fois par semaine. Il arrive même que nous ne faisons que discuter de nos filles, de leur nouvelle amitié, mais le plus souvent, nous couchons. Dans un parking intérieur, elle me suce et m'avale pendant que je la masturbe ou que je l'honore d'un doigté anal. Sinon nous nous retrouvons dans différents hôtels peu regardant sur leur clientèle. Elle aime toujours se faire prendre avec rudesse mais réclame désormais que je la sodomise et que je me vide en elle sans préservatif. Je ne cherche pas à discuter ses ordres, aussi je force souvent son entrée, mais c'est de moins en moins difficile, alors que son anus s'habitue et s'ouvre plus facilement. J'apprécie par contre la poussée suivante alors que je m'enfonce et que je bouge au rythme d'un marteau-piqueur, jusqu'à m'extraire, retirer le préservatif et me répandre en elle m'enfonçant complètement et qu'elle se masturbe et me masse les testicules. Autant j'haïssais cette femme, autant j'aime coucher avec elle. La prendre sans ménagement.
Aujourd'hui, c'est yoga.
Nous prenons des nouvelles l'un de l'autre, parlons travail, loisirs, continuant même en nous déshabillant. Une routine s'est installée entre nous, notre relation est presque normale. Emily est à genoux, tête sur un oreiller, croupe dressée. Je l'humidifie en la léchant, en titillant son clitoris, en passant ma langue sur sa vulve, allant jusqu'à l'exciter en y passant mon gland quand elle recule son bassin et que je la pénètre sans préservatif.
« Emy, je ne suis pas...
— Prends-moi comme ça, tu éjaculeras comme d'habitude, tu veux bien ? »
Je n'insiste pas, mes mains sur ses hanches, je donne une poussée. Elle comme moi sentons la différence, c'est bien plus intime. Je lui caresse le dos, les fesses, ses cuisses musclées que j'aime tant, ses seins refaits mais ferme. Emily jouit, puis s'accroche à mes cuisses alors que je vais en elle plus vite et plus plus, me maintenant si fermement que je suis incapable de me dégager quand j'éjacule en longs jets brûlant. Quand elle me lâche, je continue mes mouvements pour me vider complètement, la serrant contre moi.
« Merci, mon chéri » murmure-t-elle en se dégageant, se tournant pour me prendre en bouche et me nettoyer avant de m'embrasser, ses lèvres goûtant mon sperme et sa cyprine. « Je suis disponible vendredi midi, j'ai encore envie que tu me fasses l'amour sans préservatif, tu veux bien ? C'était agréable. Je voudrais que tu me prennes directement, comme si tu me violais. Pas de préliminaire, pas de lubrifiant.
— À une condition » souriais-je en l'embrassant. « Ne retiens pas tes orgasmes.
— Mon chéri » minaude-t-elle, déjà excitée.
Malheureusement, pris par une surveillance pour une enquête, je ne peux me libérer, je sens la déception et la résignation dans sa voix. Moi-même, je me faisais une joie de la baiser une autre fois, mais cela devrait attendre lundi. La surveillance terminée, je remballe mon matériel, et rentre au bureau avec mes collègues pour remiser le camion, et rédiger mon rapport. Un message sur mon téléphone me fait sourire.
« Mon mari est en déplacement ce week-end, il vient de partir, je me masturbe en pensant à toi.
— Tu cherches à me mettre mal à l'aise à côté de mes collègues ?
— On se voit demain ? Amanda va à une fête chez une copine, emmène Lily, ça lui fera plaisir, elle et Amanda s'entendent bien maintenant.
— Je vais voir si elle veut bien, c'est une timide.
— Amanda a envie de la voir en dehors de l'école.
— Tu veux que je te « viole » chez toi ?
— Tu devrais être flic, tu as tout compris.
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Shooter
RomanceScott, agent du FBI, pense à se reconvertir, ne pouvant assumer son travail à 100 %, devant s'occuper de sa fille traumatisée. Lily, sept ans, a survécu a un carnage dans son école, mais pas sa maman, enseignante, qui a été abattu sous ses yeux. Nou...