Chapitre 28

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je m'excuse d'avance pour les éventuelles fautes d'orthographe :)

Hiro: j'suis tellement heureux !! dit il en pleurant encore sur mon bras droit.

Aiko: j'ai jamais perdu espoir pour toi et même le major! dit le deuxième en tenant mon bras gauche .

J'étais enfin avec les miens, les autres soldats de mon armée m'ont aussi accueilli à bras ouverts. Mais, actuellement je n'ai pas peu revoir le major, il est en pleine discussion avec Anai. Il ne veut pas me laisser partir et cela pose vraiment un problème.

Pdv Yukimura :

Anai: Kazuki ! Vous délirez complétement, vous voyez bien que son alter nous ai très utile lors des batailles, je sais la gérer, la contrôler.

Je me lève faisant tomber ma chaise et l'attrape par le col de son uniforme.

Yukimura : c'est comme ça que vous parlez d'une jeune fille ? J'ai l'impression qu'à vos yeux elle n'est qu'un objet. Vous ne savez pas qu'utiliser un alter alors que l'on utiliser que très peu avant est quelque chose de dangereux pour sa santé ?

Anai: mais vous auriez dû le savoir même avant de l'emmener sur un champ de bataille alors qu'elle n'était qu'une enfant.

Je lâche ma prise, il a raison.

Anai: Kazuki, vous avez déjà ruiner sa santé, c'est de votre faute. Vous n'auriez jamais du la prendre avec vous si vous ne vouliez pas qu'on en arrive à ce stade vous-

Yukimura : je le sais. À cause de moi, elle n'a pas grandit comme une enfant normal ! Je le sais !

Je me rasseois sur la chaise et le major me tapote l'épaule en soufflant exaspérée.

Anai: mais maintenant c'est trop tard, le mal est fait.

Il marche en direction de la sortie.

Yukimura : vous savez, il s'arrête et se retourne vers moi, j'ai tout fais pour que Y/n reste à Musutafu, je voulais qu'elle aille au lycée, qu'elle se fasse des amis et peut être même une famille. Je voulais l'éloigner de toute cette horreur, cette horreur dans laquelle je l'ai entraîné !

Je relève mon visage rempli de dégoût vers l'homme et me relève les points serrer.

Yukimura : mais vous et l'autre imbécile êtes venu la rechercher parce que vous pensiez que c'était une arme facile ! Vous avez ruiner tout mes efforts pour la protéger, vous savez combien de temps il faut pour avoir une permission de quitter Kyushu, même lorsque l'on est major ? Il ne réponds pas. Un an ! Vous imaginez les civils qui veulent évacuer ? J'ai du attendre un an avant de protéger Y/n, vous avez tout gâcher aussi monsieur. Lorsque je recevais ses lettres et qu'elle me décrivait ses journées j'étais tellement heureux de lire qu'elle avait enfin la vie qu'elle méritait. Nous ne parlons pas d'une arme Anai, nous parlons de l'enfant que j'ai élevé, que j'ai malheureusement entraîné à la guerre. Nous parlons de ma fille Anai ! Je ne la laisserez plus entre les mains d' un homme comme vous ou les autres.

Il n'avait pas prononcé un seul mot,
je le regarde une dernière fois avec mépris et pars en direction du camp que l'on avait installé.

Je me cache derrière un arbre et sort un paquet de cigarette, moi qui m'étais promis de plus fumer... Je porte à ma bouche la cigarette et allume le briquet, j'inspire et expire laissant la fumée s'échapper de ma bouche. J'observe au loin mes hommes heureux de revoir la soldat, elle avait beaucoup maigri mais son visage est un peu plus illuminer.

Shoto x reader : Une enfant Où les histoires vivent. Découvrez maintenant