Le match

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Dans la salle commune, le tonnerre retentissait avec encore plus de force. Je savait bien que le match ne serait pas annulé. On n'annulait jamais un match de Quidditch pour un simple orage. Diggory était un élève de cinquième année, beaucoup plus grand que Harry. Les Attrapeurs étaient généralement légers et rapides mais avec un temps pareil, le poids de Diggory lui donnerait un avantage, car il risquait moins de dévier de sa trajectoire.

J'ai du me réveiller bien trop tôt vu qu'il fait nuit alors je me suis mi prêt du feu pour lire quand l'aube fut venu , j'estima qu'il devait être l'heure de descendre prendre son petit déjeuner et il sortit à travers l'ouverture masquée par le portrait.

— Allons, en garde, bâtard galeux ! Me  cria le chevalier du Catogan.

— Oh, vous, taisez-vous, ça suffit ! répliqua Harry en bâillant qui venait de se réveiller et qui arrivait à mon niveau

c'était beaucoup plus qu'une petite pluie qui nous attendait pour se match. Le Quidditch était si populaire, cependant, que toute l'école vint voir le match comme d'habitude, cols relevés, têtes baissées, parapluies déployés. Juste avant d'entrer dans les vestiaires, Harry vit Malefoy, Crabbe et Goyle qui le montraient du doigt en s'esclaffant, à l'abri d'un immense parapluie.  Ce qui ne me plus pas vraiment quand il m'en parla.

Les joueurs de Gryffondor revêtirent leurs robes écarlates et attendirent l'habituel discours d'encouragement qu'Olivier leur réservait au début de chaque match. Cette fois-ci, pourtant, ils durent s'en dispenser. Dubois essaya bien de parler à plusieurs reprises, mais il ne parvint qu'à émettre quelques borborygmes et finit par hocher la tête d'un air résigné quand je me proposa de continué à sa place

- bon, on a vraiment un temps pourrit et un adversaire assez puissant mais on est prêt. On est courageux, on a peur de rien ni de personne. C'est la maison gryffondor qui gagnerait cette année. Aller tous le monde !

Ça avait remonté le moral de mon frère et les jumeaux avait alors commencé à faire des blague pour détendre l'atmosphère. Et ils partir sur le terrain

Le vent était si violent qu'ils entrèrent sur le terrain en chancelant. Le vacarme du tonnerre couvrait les acclamations du public.
Les joueurs de Poufsouffle apparurent à leur tour à l'autre bout du terrain, dans leurs robes jaune canari. Les capitaines des deux équipes s'avancèrent l'un vers l'autre et se serrèrent la main.
Diggory adressa un sourire à Dubois, mais celui-ci semblait avoir une crampe dans la mâchoire et il fut tout juste capable de lui faire un signe de tête. Je lut sur les lèvres de Madame Bibine: « Enfourchez vos balais. »Madame Bibine donna un coup de sifflet qui parut lointain dans le vacarme de la tempête et les joueurs décollèrent.

Harry s'éleva rapidement, mais le vent faisait légèrement dévier son balai. Il essaya de maintenir son cap le mieux possible et décrivit une courbe en plissant les yeux sous la pluie qui tombait à verse.
Il arrivait à peine à voir ses coéquipiers et encore moins le minuscule Vif d'or.

Je le vit sillonné le ciel et madame bibin m'interdît de bouger
A deux reprises, Harry faillit être désarçonné par un Cognard. Avec ses lunettes ruisselantes de pluie, il ne les avait pas vus venir.

. Maintenir son balai droit devenait de plus en plus difficile. Le ciel s'assombrissait sans cesse, comme si la nuit avait décidé de tomber avec plusieurs heures d'avance. Il avait manqué d'entrer en collision avec deux autres joueurs sans savoir s'il s'agissait de coéquipiers ou d'adversaires. Ils étaient tous tellement trempés et la pluie était si dense qu'il n'arrivait plus à les distinguer les uns des autres.
Enfin, le sifflet de Madame Bibine retentit en même temps qu'un éclair illuminait le ciel. Harry aperçut la silhouette de Dubois qui lui faisait signe de descendre. L'équipe au complet atterrit sur le sol dans des éclaboussures de boue.

— J'ai demandé un temps mort ! rugit Dubois à ses coéquipiers. Venez là-bas...

Ils se rassemblèrent au bord du terrain sous un grand parapluie. Harry en profita pour ôter ses lunettes et les essuyer avec un pan de sa robe de sorcier.

— Où en est le score ?

— On a cinquante points d'avance, dit Dubois, mais si on n'attrape pas bientôt le Vif d'or, on y sera encore ce soir.

— Comment veux-tu que je le voie avec ça ? dit Harry d'un ton exaspéré en agitant ses lunettes.

— J'ai eu une idée, Harry ! dit-je. Donne-moi vite tes lunettes !

Il les  tendit et toute l'équipe stupéfaite me regarda tapoter les verres avec ma baguette magique en marmonnant: Impervius !

— Et voilà ! dit-elle en rendant ses lunettes à Harry. Désormais, elles vont repousser l'eau. On aurait dit que Dubois allait se précipiter sur elle pour m'embrasser.

— Formidable ! lança-t-il d'une voix rauque Bon, on y va

Le sortilège  avait réussi. Harry était toujours engourdi par le froid, toujours trempé de part en part, mais au moins il arrivait à voir normalement. Animé d'une nouvelle énergie, il fendit les remous de l'orage, jetant des coups d'œil de tout côté en quête du Vif d'or, évitant un Cognard, plongeant sous le balai de Diggory qui filait en sens inverse...

Il y eut un nouveau coup de tonnerre accompagné d'un éclair fourchu. Voler dans ces conditions devenait de plus en plus dangereux, il fallait se dépêcher d'attraper le Vif d'or.

Il prit un virage serré avec l'intention de revenir vers le milieu du terrain, mais au même moment, un autre éclair illumina les tribunes et Harry vit quelque chose qui détourna aussitôt son attention: sur le plus haut gradin, vide de spectateurs, la silhouette d'un énorme chien noir et hirsute se détachait nettement contre le ciel.

Je vis les mains d'Harry  engourdies glisser sur le manche du balai et son Nimbus fit un bref plongeon. D'un mouvement de tête, il rejeta en arrière la mèche trempée qui lui barrait le front et plissa les yeux en regardant à nouveau dans les tribunes: le chien avait disparu.

— Harry ! hurla la voix angoissée de Dubois qui gardait les buts de Gryffondor, Harry, derrière toi !

J'étais totalement pétrifié. Comment aider mon frère ?

Harry tourna la tête. Cedric Diggory filait à toute vitesse dans sa direction. Entre eux deux, un minuscule point doré scintillait sous la pluie.
Dans un brusque mouvement de panique, Harry se coucha sur son manche et fonça vers le Vif d'or.

Mais quelque chose d'étrange se produisait. Un silence inquiétant s'était soudain abattu sur le stade. Bien qu'il fût toujours aussi violent, le vent avait cessé de mugir. C'était comme si quelqu'un avait coupé le son, comme si, tout à coup, J'étais devenu sourde

Je sentit alors une vague de froid l'envahir.Un froid terriblement familier. Puis il eut conscience que quelque chose bougeait sur le terrain...

Harry détacha les yeux du Vif d'or et regarda en bas.

Une centaine de Détraqueurs au moins, leurs faces encagoulées levées vers lui, se tenaient sur le terrain. Il eut l'impression qu'une eau glacée se déversait dans sa poitrine et lui déchirait les entrailles.
Harry tombait, tombait à travers le brouillard glacé.

Cette fois je me décida à intervenir. Je pris mon balais et fonça vers les cieux alors que tous le monde restait bloqué.

J'e réussi de justesse à rattraper harry dans sa chute mais mon balais ne supporte pas le pois et nous dégringolons. Je touche le sol. Tenant mon frère. Mon balais casse. J'en ai rien a. Faire .

Je vis tous le monde arrivé sur le terrain et le professeur lupin regarda les constantes de mon frère.

- il va bien. Les detraqueur m'on simplement sonné

- je l'emmène à l'infirmerie. Fit hagrid

Il attrapa harry rapidement et l'emmena sans attendre

- potter, dans mon bureau. Fit madame bibine

- oui professeur.

J'étais plutôt soulagé que harry n'est rien alors ma punition pour avoir désobéis au ordre j'en avais rien à faire

Destin différent : les maraudeurs Où les histoires vivent. Découvrez maintenant