Dans le bureau

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Lorsqu'ils furent arrivés dans son bureau, une petite pièce avec un grand feu de cheminée, le professeur McGonagall nous fit signe de s'asseoir avant de s'installer elle-même derrière sa table.

— Le professeur Lupin m'a envoyé un courrier par hibou spécial pour m'informer que vous avez eu un malaise dans le train, Potter, dit-elle d'emblée.

Avant que Harry ait eu le temps de répondre, quelqu'un frappa discrètement à la porte et Madame Pomfresh, l'infirmière, surgit dans la pièce.

Harry se sentit rougir. C'était déjà suffisamment pénible de s'être évanoui, inutile par surcroît de faire tant d'histoires !

— Je vais très bien, dit-il, je n'ai besoin de rien...

— Ah, c'est vous, dit Madame Pomfresh en se penchant sur lui pour l'observer de près. Vous avez encore fait quelque chose de dangereux, j'imagine ?

— C'est un Détraqueur qui a provoqué le malaise, dit le professeur McGonagall.
Elles échangèrent un regard et Madame Pomfresh hocha la tête d'un air désapprobateur.

— Poster des Détraqueurs autour d'une école, marmonna-t-elle en posant une main sur le front de Harry. Il n'est pas le premier à s'évanouir. Ah oui, il est un peu fiévreux, je le sens. Terribles, ces créatures. Elles ont un effet désastreux sur les personnes un peu fragiles...

— Je ne suis pas fragile ! s'exclama Harry avec colère.

— Bien sûr, bien sûr, dit Madame Pomfresh d'un air absent en lui prenant le pouls.

— De quoi a-t-il besoin ? demanda le professeur McGonagall d'un ton cassant. De repos ? Peut-être devrait-il passer la nuit à l'infirmerie ?

— Mais je vais très bien ! protesta Harry en se levant d'un bond.

Imaginer ce que Drago Malefoy allait dire de lui si on l'envoyait à l'infirmerie le mettait au supplice. La fierté d'Harry est vraiment amusante parfois mais dans d'autre circonstance elle peut être dangereuse

— Il faudrait au moins lui donner du chocolat, dit Madame Pomfresh qui examinait ses pupilles.

— J'en ai déjà eu, dit Harry. Le professeur Lupin m'en a donné, il en a même donné à tout le monde.

— Ah, très bien, approuva Madame Pomfresh. Nous avons enfin un professeur de Défense contre les forces du Mal qui connaît les bons remèdes.

— Vous êtes sûr que vous vous sentez bien, Potter ? demanda sèchement le professeur McGonagall.

— Oui, assura Harry.

— Dans ce cas, attendez-moi dehors, j'ai quelque chose à dire à Miss Granger et votre soeur à propos de leur emploi du temps, ensuite nous descendrons participer au festin.

Harry ressortit dans le couloir en compagnie de Madame Pomfresh qui s'éloigna vers l'infirmerie en marmonnant des paroles incompréhensibles.

- comme vous le savez sûrement mesdemoiselles votre emploi du temps est... complet. Vous ne pouvez pas assister à toute vos activités. Sauf si vous avez ce qu'il vous faut. Le professeur dumbledor vous a donné le votre l'an dernier mademoiselle potter do
Il n'eut que quelques minutes à attendre ce voici pour vous mademoiselle granger

C'était une montre. Une simple montre

- cest un retourneur de temps il vous suffit de retourner le cadran pour retourner une heure en arrière. Je vous conseille de bien faire attention et de bien manger et dormir. Compris mesdemoiselles ?

- oui professeur.

Je compris enfin ce qui se cachait dans ma boîte à musique pendant tous se temps .

Destin différent : les maraudeurs Où les histoires vivent. Découvrez maintenant