55 - CARLOS SAINZ

Chapitre 18

• POV Externe.

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La jeune fille était haletante, elle avait du mal a reprendre une simple respiration tant son corps l'irradiait de plaisir.

Elle attrapa les draps de ses deux mains en se cambrant, elle poussa de léger gémissement et se mordait les lèvres pour faire le moins de bruit possible.

Son corps la brûlait, elle se tordait légèrement, son corps fut rapidement prit de spasmes.
L'orgasme l'a saisit violemment, elle attrapa les cheveux du brun qui était sous la couette, et avec l'autre main elle couvrait sa bouche pour cacher son gémissement qui l'amenait jusqu'a la fin de son orgasme.

Le brun remontant doucement en embrassant son ventre qui était découvert par le tee-shirt. Il lui souriait en la fixant pendant qu'elle revenait a elle. Il avait les cheveux en bataille, il aurait pu rester là pendant des heures en la fixant, mais il devait rejoindre son ami pour ne pas eveiller trop de soupçons.

Il se releva et constata que lui aussi avait eu du plaisir. Elle était la seule a pouvoir lui faire tant d'effet sans même le touché.
Il enfila rapidement son maillot de bain cachant son caleçon taché. Une chose est sur, il ne le rendra jamais à Charles.

Il se baissa alors que la brune le fixait. Il caressa sa joue puis posa un baiser dessus, lui souhaitant une bonne journée avec un sourire en coin.

Il quitta la pièce en finissant de boutonner sa chemise, pour rejoindre Lando et retourner à l'appartement que venait d'acquérir le jeune britannique. L'espagnol était silencieux ne pensant qu'a la brune qu'il venait d'abandonner.

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• POV Céleste

Je mit un moment à reprendre mes esprits. Je devins rouge écarlate en repensant à Carlos à cet endroit là de mon corps. Je me leva pour foncer sous la douche, bien que j'appréciais son odeur sur mon corps.

J'avais eux deux orgasmes en moins de 24 heures sans avoir couché avec le pilote. Et ils étaient d'une violence que je commençais presque a avoir peur de ce que cela donnerait le jour j.

En sortant de ma douche je noua autour de ma poitrine une serviette, j'entrais dans ma chambre, j'avais trois petites fouines assissent sur mon lit tout sourire. Je souffla en les voyants.

« Léa : On l'a vu s'échapper presque en courant, tu crois vraiment que t'allais rien nous dire ?

Maelle : Alors c'était bien ?

Céleste : J'ai pas couché avec lui !

Charlotte : Quoi ? Non je te crois pas. Je commença alors mon explication sur ce qui s'était passé hier soir, je sentais mes joues me bruler de honte. Je m'habillait tout en parlant.

Maelle : Simplement en se frottant ? Punaise... ca a l'air incroyable.

Léa : Grave je vais essayer avec Mathis.

Céleste : Et puis bah ce matin... je mordais ma lèvre.

Charlotte : QUOI CRACHE LE MORCEAU. Elle sautillait presque. Je finit par lâcher le morceau, elles se mirent à crier en applaudissant.

Léa : Il te mange dans la main. Bien joué !

Céleste : Mais pas du tout !

Charlotte : Tu plaisantes ? Hier ca se voyait qu'il voulait envoyer chier Alex, il t'as pas décollé une seconde, il te bouffe du regard constamment, dans les paddocks c'est pareil.