55 - CARLOS SAINZ

Chapitre 20

La journée était ensoleillée, les fans se baladaient dans le village fan. Tout le monde était de bonne humeur. Qu'est ce que j'adore les français. Je me prêtais au jeu de prendre quelques photos avec des supporters.

Toto m'avait laissé ma journée tranquille, je voulais vivre ça comme une vraie supportrice.
En passant devant les boutiques de merchandisings, j'entrais dedans. Je regardais les différents tee-shirt et j'allais tout particulièrement vers un.
J'attrapa le tee-shirt Ferrari qui portait le numéro 55. J'en avais plusieurs chez moi, mais tous portait le sigle 16.
J'en pris un en oversize et me dirigea a la caisse. L'idée d'avoir un tee shirt de Carlos me faisait rire. Je paya et sortait avec mon petit sac. J'entrais ensuite dans les paddocks pour rejoindre Pierre dans son stand.

« Pierre : Hello. Il embrassa ma joue. T'as fais du shopping ?

Céleste : Oui. Je lui tendais mon sac et il pouffa de rire en l'ouvrant. Ca m'amusait je sais pas pourquoi. Au pire il me le dédicace et je le revend 300€ sur vinted.

Pierre : Attend mais pas con l'idée, on devrait monter une affaire pour arrondir nos fins de mois. Je le fixait en haussant un sourcil.

Céleste : Parce que t'as besoin d'arrondir tes fins de mois toi ?

Pierre : Je suis Elon Musk, on devient riche qu'en allant toujours plus loin. Je souffla et tourna les talons. Il rigolait en me regardant partir. »

Je fini par rejoindre mon équipe et regardait les essais tranquillement avec mon casque. J'avais décidé de ne pas poser la question a Carlos sur sa rupture. Après tout ca ne me regarde pas et je n'ai pas a faire la fille intrusive. A la fin du second essai Sainz avait marqué le meilleur temps suivit de Charles et Max et ensuite les Mercedes. Le dimanche promettait d'être intéressant.

Alors que je regagnait ma chambre, je discutais par message avec Charlotte, elle voulait m'aider a me préparer, mais c'était une mauvaise idée, j'allais lui confier toutes mes craintes et paniquer. J'étais dans un bon mood, je voulais poursuivre dans cette lignée.

Après ma douche j'enfilais une robe en lin beige, elle se centrait légèrement a la taille et était vraiment agréable.
J'enfila les sandiags que Charlotte m'avait offert, ainsi que mon sac en daim camel. Avec le soleil et la chaleur mes cheveux avaient bouclés, je tirait quelques mèches en arrière pour les accrocher avec deux mèches qui tombaient sur mon visage.
Les jours de repos a Monaco m'avait permis de bien bronzer. Alors j'ajoutais seulement du blush sur mon teint dorée et du mascara.

J'envoyais une photo a Kate et Charlotte qui validèrent de suite la tenue complète.
Alors que je textotait avec mes amies, on frappa a la porte. Je me dirigeait et ouvrait, Carlos était en chemise blanc avec un pantalon jean de la même couleur, des mocassins camel au pied.

« Céleste : Mais... tu m'as copié ? Je rigolait face a la similitude de nos tenus. Lui me fixait sans parler. Allo ?

Carlos : Tu es magnifique. Il se pencha pour poser sur ma joue. Je voyais qu'il rougissait.

Céleste : Merci toi aussi. Je toucha la chaine en or autour de son cou ou pendait une croix. Elle est très belle.

Carlos : Un cadeau de ma grand-mère. Il me tendit son bras et je m'accrocha doucement a celui ci. Nous prenions la direction du parking.

Céleste : On va où ?

Carlos : Tu verras.

Céleste : Woaw, elle est magnifique. Je m'approchais de la voiture devant nous, une Ferrari bleu marine décapotable avec les cuir rouge.