55 - CARLOS SAINZ

Chapitre 19

Nous avions pris la route à midi, nous en avions pour 3 heure.
On en profitait pour se faire écouter des musiques que nous aimions.

« Céleste : Tiens, je t'ai préparé un sandwich au salami ! Je lui tendait son repas.

Pierre : Ouuuh tu me connais trop bien ! Merci !

Céleste : Je voulais te parler de l'année prochaine ! Il hochait la tête en croquant quand le pain garnis. J'ai rendez-vous ce soir au restaurant avec Laurent Rossi et l'équipe Alpine. Je pense que je vais avoir une réponse pour un baquet ... Je le regardai en appréhendant sa réaction

Pierre : Mais c'est génial Cel ! Il lâcha presque son sandwich sous la surprise

Céleste : C'est vrai ? J'étais heureuse de le voir réagir ainsi.

Pierre : Bien sur ! Attend tu croyais vraiment que j'allais t'en vouloir ? C'est aussi ça le but, on a tous en compétition, faut pas que tu t'en veuilles car sinon tu te feras marcher dessus. Tu m'as compris ? J'hochais la tête.

Céleste : Et sinon avec Kate ? Le courant passait bien mercredi dernier, j'ai pu a peine lui parler, tu l'accaparait !

Pierre : Tu parles, t'as pas décollé Carlos. Et encore je vais pas te demander ce que t'es partie faire avec lui dans la chambre de Charles. Je me retournait vers lui rouge de honte. J'ai peur que ca me dégoûte ! Il rigolait. Mais oui ca se passe super bien, elle vient a Paul Ricard tout le week end !

Céleste : T'as pas envie de savoir. J'explosais de rire quand il mima qu'il vomissait. Enfin j'ai pas encore couché avec lui ! Et je sais pour Kate, je vais la voir après le restaurant avec Alpine.

Pierre : Comment ca pas encore ? Enfin passe moi les détails, mais tu comptes aller jusqu'au bout avec lui ?

Céleste : Bah je sais pas du tout, mais bon on verra bien, il m'a dit de réserver ma soirée de vendredi. C'est une surprise.

Pierre : Vous allez super bien ensemble je trouve. Je souriait et attrapais sa main. Vend moi bien auprès de Kate ce soir s'il te plait.

Céleste : Oh mais j'y compte bien ! »

Pierre se gara dans l'hôtel, c'était de petite maison blanche individuelle, a l'intérieur les chambres étaient magnifique, nous étions entourés de pins typique du sud de la france. J'adorais ce lieu. On s'enregistra à la réception et allons chacun dans notre chambre.
Je sortait mes tenues pour ne pas les froisser de ma valise.
Puis je décida de faire une sieste avant de me préparer pour le restaurant.

Après une bonne sieste, je fila sous la bouche. Je voulais donner bonne impression. Je me maquillais donc, et lissa mes cheveux pour une fois.
J'enfila un pantalon taille haute évasé bleu marine et un jolie chemisier blanc. Puis je gagna 10 centimètres une fois mes talons enfilés. J'attrapa mon sac camel, et pris la direction de la réception. Mes mains étaient moites, j'espérais croiser quelqu'un sur le chemin mais personnes de familier n'était dehors.

« Céleste ; Bonjour, je suis mademoiselle Maligni, Alpine a dû envoyer une voiture pour moi.

Réceptionniste : Bien sûr, le chauffeur vous attend juste devant. Je regardais a l'extérieur et vu une Alpine bleu attendre moteur tournant.

Céleste : Merci, bonne soirée. Je sourît a la réceptionniste et quitta le hall. »

Je grimpa dans l'alpine en saluant le conducteur.
Le long du chemin on discutait de voiture, il était très gentil.
On fini par arriver devant un mas provençal, tout était magnifique, une allée de cyprès nous accueillait le long du chemin avant d'arriver a une grande batisse en pierre.
Une fois garé je sortit et vit l'équipe Alpine m'attendre devant. Toto n'avait pas pu être la, j'étais donc seule pour ce restaurant. Laurent me fit la bise et me présenta les personnes a ses côtés.