#27

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~~~~ Désolé de l'attente, j'ai déménagé (j'habite maintenant Dieppe) et donc je n'avais pas trop le temps. Mais maintenant c'est bon, je suis tout à vous. Bonne lecture. ~~~~

Je me réveille, elle dort encore, elle est toujours à moitié sur moi. Son téléphone se met à sonner, et ce n'est pas son réveil.

- Moi : Charlie, réveille toi. Le lycée t'appelle.

Elle grogne et attrape son téléphone. Elle décroche.

- Charlie : Allo ? Prononce t'elle d'une voix faiblarde. Elle tousse un coup. Vous pouvez parler moins vite et moins fort s'il vous plait, depuis hier soir, j'ai une atroce céphalée. J'entends pas ce qu'il réponds. Oui, merci beaucoup, bon weekend Monsieur. Termine t'elle la communication.

Elle repose le téléphone et se reblotti bien contre moi. Je pose ma tête sur la sienne et me rendors aussi.

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Des lèvres sur mon front me réveille, je garde les yeux fermée, elle pose donc ses lèvres sur les miennes, je commence à mouvée mes lèvres, et pose ma main sur sa cuisse, je monte petit à petit.

Elle recule légèrement ses lèvres des miennes.

- Charlie : Un ciné, ça t'intéresse ?

J'hoche la tête.

- Moi : Comme notre premier rendez-vous.

- Charlie : Et là, pas besoin de se cacher.

Elle repose ses lèvres sur les miennes.

xxx

Nous voilà partis pour aller au ciné. On choisi de regarder Scream VI.

Mamamia, Jenna, elle est magnifique.

- Charlie : Tu baves.

Je souris. Ont s'assoient au fond pour une meilleure vue et aussi pour être tranquille. Pas de risque de surpopulation dans le ciné, dans cette petite ville de campagne, y'a pas beaucoup de monde.

/ Point de Vue de Charlie \

Je pose ma tête sur son épaule. Elle commence déjà à grignoter son pop-corn en attendant que les 3h de pub passe. Mon téléphone sonne une notification, je regarde qui c'est. C'est un message de Colombe, la Grand-Mère de Millie, elle me demande si tout va bien et si je lui donne bien ses médocs. Je lui répond donc que tout va bien et que oui elle les prends tous sous ma surveillance.

Les lumières s'éteignent, le film va commencer. Elle me susurre qu'elle va au toilette et me demande de lui raconter. Elle se lève et se dirige à une porte à 3 mètres de nos sièges. A peine disparu de mon champs de vision que le type du siège de devant, se retourne et me regarde.

Je garde mes yeux sur l'écran, tentant de l'ignorer.

- ? : Hé. T'es seule ?

Je l'ignore encore.

- ? : Je t'ai parlé connasse.

Je regarde la porte, Millie n'est toujours pas sortie. Le mec se lève, j'essaie de me concentrer à regarder le film. Il commence à enjamber les fauteuils. Eh merde. Il s'approche de moi. Millie sors de là, priai je. Elle s'assoie à côté de moi, je lui prends rapidement la main. Je vois qu'elle aperçois le mec.

- Millie : Va t'assoir fils de pute.

- ? : Elle me fait du charme et deux secondes après elle m'ignore.

Les quelques personnes dans la salle demande de la bouclé.

- Millie : Elle est à moi, alors dégage avant que je m'énerve.

Ce qui me fait réaliser que aujourd'hui comme on à pas déjeuner, elle ne les à pas pris. Je caresse sa main pour la calmer, j'espère que ça marchera et qu'il va dégager.

- ? : Réglé vos problèmes dehors après le film ! Hurle une personne un peu plus loin.

Il s'assit au bout de notre ligne de siège. Je sens ses lèvres sur mon front.

- Millie : Ca va aller Cha'.

Je me sens pas bien, genre pas bien du tout. Je déteste ce genre de personne. Un haut-le-coeur me prends, je me lève rapidos, direction les toilettes. Je la sens à ma suite. Elle me tient les cheveux pendant que je sors toute mes tripes. La porte s'ouvre, Millie penche sa tête en dehors du toilette dans lequel nous sommes.

- ? : Bien, deux pour le pris d'une.

Elle lâche mes cheveux et se relève.

Je sors encore mes tripes. Je n'entend pas Millie revenir, je m'essuis la bouche et me penche. Le mec la tient par le col, elle ne touche même plus le sol. Elle me regarde, hésitante, puis son regard devient noir. Je me repenche au dessus du toilette. Je les entends commencer à se donner des coups. Je m'essuis de nouveau la bouche et essaye de me lever. Une fois debout, j'essaye de garder l'équilibre en me tenant au montant de porte.

- Moi : Millie. Arrête.

Quelques coups s'échange, les larmes coulent, je me sens pas bien et ma petite copine se bat pour moi. Je sursaute car un coup vient de passer à côté de ma tête. Mais à la seconde d'après, un poing m'arrive au milieu de la gueule, le temps de réaliser que c'est un poing perdu de la part de Millie que je suis au sol, à moitié assommée. Avant de fermer les yeux, je vois sûrement le dernier coup de Millie, Attrapant le visage du gars et l'explosant sur le lavabo qui cède avec sa force. Mes paupières fermer, je l'entends m'appeler.

- Millie : Cha' ? Ca va ? Qu'est-ce qui c'est passé ? Charlie, répond moi.

Elle secoue mon corps puis me soulève, elle m'emmène à la voiture. Elle nous ramène à la maison de mon oncle, même si je suis épuisé, il me semble qu'on à pas rouler à 50. Elle m'emmène à l'intérieur, direction la salle de bain. Elle fouille chaque tiroir à la recherche sûrement de coton. Millie me nettoie le nez, je grimage, je pense que je vais avoir un gros hématome.

- Millie : Ca va ?

J'hoche la tête.

- Millie : Qui ? Comment ? Pourquoi ?

- Moi : C'est pas grave, je ne t'en veux pas, c'était un coup perdu, j'étais au mauvaise endroit.

J'ouvre les yeux jusque là fermer par l'épuisement.

- Moi : C'est rien.

Elle se lève et sors de la salle de bain.

- Moi : Millie, revient.

Je me lève vacillante, je rejoins notre chambre. Elle est dans le lit sous les couvertures, je me met en pyjama et la rejoins sous la couette. Je la prend contre moi, elle essaye de se reculer, mais je force.

- Moi : Arrête Millie, tu sais que je t'aime. C'est pas ça qui va me faire fuir. Ca peut arriver à tout le monde. Tout le monde n'est pas parfait, et c'est grâce à ton imperfection que je t'aime comme tu es. Ne changes pas pour moi, ni pour personnes. Je t'aimerai quoi qu'il arrive, et ce pour toujours, tu es mon coup de foudre, même si notre relation est arrivé très vite, je ne voulais pas passer à côté mon premier, vrai, coup de foudre. Je peux t'avoue même, que je ne vois pas ma vie sans toi à mes côtés.

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Voici le vingt-septième chapitre. : )

Eh merde. [ Prof/Élève ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant