Eh merde. [ Prof/Élève ]

#20

¤ Point De Vue De Millie :

J'attends que les médecins ramène des nouvelles, j'espère que Charlie est en vie.
La fille qui était dans sa chambre et assise sur une chaise en face de moi dans la salle d'attente.

3h de plus plus tard.

Un médecin arrive.

- Médecin : La famille de Charlie...

Je me lève.

- Médecin : St Pierre. Finit-il.

Je me rassois en soufflant.

La fille vient s'installer à côté de moi.

- Fille : Ce n'était pas ce que tu croyais... Certes, il y a un lien entre nous deux, mais pas celui que tu crois.

- Moi : Ferme là. Dis-je méchamment.

- Fille : Elle avait raison.

- Moi : Raison ?

Je la regarde ne comprenant pas.

- Fille : Sur le fait que tu es une personne froide quand tu ne connais pas ton interlocuteur.

- Moi : Qu'est-ce qu'elle te dit d'autre ?

- Fille : Qu'elle t'aime. Vraiment. Qu'elle ressens des choses qu'elle n'a jamais ressenti avec l'autre. Tu la rend vraiment heureuse.

Je regarde devant moi, je la rend heureuse ?

- Médecin : La famille de Charlie Lancelot.

On se lève puis nous dirigeons vers lui.

- Médecin : Suivez-moi.

On le suit, au bout de 5 minutes, il s'arrête devant une porte.

- Médecin : Charlie est dans le coma pour l'instant, nous l'avons mis sur la liste des demandeurs d'organes. Ses reins ont été perforer.

Des larmes ruisselle sur mes joues.

- Médecin : Nous avons réussi à lui réparer la colonne vertébrale et le derrière de son crâne. À quelques centimètres, Charlie, n'aurai pas survécu.

- Fille : Merci.

- Moi : Je veux faire des tests pour lui donner un rein.

- Médecin : Je vais vous envoyer une infirmière.

Je le remercie d'un hochement de tête.

Je les regardes et entre en première dans la chambre. Elle est branché à plusieurs machines. Tout ça et de ma faute... Mes larmes deviennent des torrents. J'aurai dû l'écouter, mais je suis encore parti comme une tête de mule. Je m'approche pour lui tenir la main.

- Moi : Je suis tellement désolé Charlie. Je ne voulais pas.., mais voir une fille attaché à ton lit...

- Fille : Je ne suis pas juste une fille, Millie.

- Moi : Ferme-la.

Elle pose sa main sur mon épaule, par réflexe, je lui fait une clé de bras.

- Fille : J'avais oublier, que tu étais violente aussi.

- Moi : Je ne suis pas violente.

J'accentue ma prise sur elle.

- Fille : Quand penserai Charlie si tu me fait du mal ?

- ? : Lâchez ma fille. Dit une voix sévère.