#22

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Vraiment désolé pour cette longue attente, j'ai beaucoup de travail et j'ai eu un petit syndrome de la page blanche.

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¤ Point De Vue De Millie :

"Elle lève la main sur moi, prête à me giflée. Je retiens mon souffle.

- Moi : Vas-y, je le mérite. Lui dis-je en baissant la tête."

- Charlie : Tu ne l'as mérite pas, parce que c'est de ma faute. Je relève la tête, mes yeux s'encrant dans les siens. Mais tu en mérite une pour m'avoir ignorer et de ne même pas avoir essayer.

Je ferme les yeux, je tourne ma tête pour lui montrer ma joue. Je sens ses lèvres douce contre ma peau.

- Charlie : Tu ne changera jamais.

- Moi : Tu m'as manquée.

Elle me serre contre elle, je resserre notre étreinte.

- Moi : Je suis vraiment dé...

- Charlie : Ta gueule. Me coupe t'elle.

Je me sens tellement bien entre ses bras, tellement mieux. J'ai l'impression de revivre.

- Charlie : Tu vas être en retard à ton prochain cours.

- Moi : M'en fou.

- Charlie : On se verra ce soir.

Puis se décale de moi et m'embrasse la joue.

Quelqu'un toque a la porte je recule d'un pas.

- Charlie : Je ne sais pour qui tu te prends mais t'as pas a frapper les gens par plaisir !

Je souris amusé, elle serait très bonne actrice.

- Charlie : Tu iras passer ton mercredi après-midi ici en heure de colle !

Je baisse la tête.

- Emma : Charlie, ça va ?

Je sors de la salle, tête baissé, une fois dehors un large sourire prend place sur mon visage. Je l'ai retrouvée.

J'ai l'impression que mon dernier cours de la journée dure une éternité. Quand la cloche retentit, je me lève d'un bond, prends mon sac et cours vers la sortie. Je sprinte même jusqu'à chez moi, je monte mes escaliers 4 à 4. De ma fenêtre de chambre, je la vois dans sa cage d'escalier, elle fume. Je reçois un message, c'est elle. " Je t'envoie un message quand je serai enfin seule ". Je souris la regarde puis pars en sautillant comme une gazelle vers mon salon.

- Mamie : J'en connais une qui va passer une très bonne soirée de retrouvaille. Dit-elle avec un grand sourire.

Je lui souris aussi, toute contente. Je m'affale dans le canapé, le téléphone en main, attendant son message.

Une heure que j'attend son message, je souffle triste. Je vais dans ma chambre faire mes devoirs.

- Ta tête quand tu es concentrée est toujours drôle et mignon.

Je me retourne rapidement, elle est accoudée à l'extérieur de ma chambre, je me lève mais trébuche avec les pieds de ma chaise de bureau. Je tombe comme une grosse merde, elle rit, je me lève et la rejoins. Je lui prend la main et l'a fait entrée dans ma chambre. Je pose rapidement mes lèvres sur les siennes, ses mains sur mes hanches, on s'échange un long et doux baiser.

- Moi : Je t'aime.

- Charlie : Je t'aime aussi.

On s'allonge dans mon lit, ma tête sur sa poitrine.

- Charlie : Je n'ai pas perdu la mémoire après mon réveille. Ma mère voulait juste nous séparer. Je pense que c'est parce que tu es plus jeune que moi.

- Moi : Elle pense que je suis immature...

- Charlie : Tu ne l'es pas.

- Moi : Elle doit aussi penser que tu es une sorte de pari, ce que font les personnes de mon âge, elle pense peut-être que je t'utilise et que je vais te détruire...

- Charlie : Tu n'es pas ce genre de personne Millie.

- Moi : J'ai fais plein de connerie...

Elle se relève, elle s'assoit, je fais de même.

- Charlie : Tu étais mal, si les rôles était inversée, j'aurais fais la même chose.

- Moi : Tu n'aurais pas fait tous ce que j'ai fais.

Elle entrelace nos doigts.

- Moi : Je me suis droguée, je buvais beaucoup, j'ai arrêtée les cours, je me battait avec des inconnu dans la rue et j'ai essayé de me tuer...

Elle me serre dans ses bras.

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Voici le vingt-deuxième chapitre de cette fiction.

Désolé pour ce petit chapitre et le prochain arrivera quand il arrivera.

Encore vraiment désolé....

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Eh merde. [ Prof/Élève ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant