chapitre 20

2.2K 324 23
                                    






A mon réveil, mon mari n'était plus là je crois qu'il est à la mosqué comme d'habitude.

Je fais ma prière du matin et je suis descendue dans la cuisine rejoindre Zeynab.

Moi : salam aleykoum.

Zeynab: waleykoum salam.

Moi: tu avais mal au ventre non ?

Zeynab: oui mais ça va mieux maintenant j'ai juste envie de vomir depuis hier.

Moi: tu as pri des médicaments contre ça?

Zeynab: Pas vraiment j'irai à l'hôpital voir parce que je commence à avoir peur j'ai jamais été dans cette situation.

Moi: ok va te reposer après la cuisson je t'accompagne.

Zeynab: ok merci beaucoup ma belle je suis dans la chambre .

Tata ciré en faisant irruption dans la cuisine :vous deux là je vous vois, je sais que vous manigancez quelques choses.

Nous nous sommes lancés un regard du genre est ce qu'elle est normal.

Zeynab:vraiment et qu'est ce qu'on manigances?

Tata ciré: je ne sais pas encore mais je vous ai à l'oeil par ce que moi ciré rien ne m'échappe.

Moi: de toute façon quant on a l'habitude des manigances ,c'est toujours comme ça tu as en tête que tout le monde est comme toi.

Tata ciré: c'est à moi que tu parles insolente.

Moi: waw pourquoi tu m'agresses comme ça, j'ai pas dit ton nom ma tante sauf si c'est toi qui fait des manigances derrière nous.

Tata ciré: je n'ai pas de temps à vous consacrer moi tchipp dit elle en quittant la cuisine

Zeynab: vous partez déjà ma tante ?dit elle en souriant .

On s'est  regardé en se souriant, vraiment cette femme est bizarre.

Zeynab: tu crois qu'elle est normale la dame.

Moi: Dieu seul sait et ce que moi je sais c'est, qu'elle est très obsédé par nous je me demande si s'est pas elle notre coepouse .

Zeynab: way vraiment tu m'emmènes à réfléchir et si elle est amoureuse de ses fils .

Je l'ai regardé du genre tu es tombé sur la tête.

Zeynab: Quoi pourquoi tu me regardes comme ça?.

Moi: je ferai mieux de terminer la cuisine parce que toi et tes imaginations bizarres .

Zeynab: tu sais que celà existe tu es trop jeune pour comprendre les réalités de la vie.

Moi: ayy Zeynab on a à peine 2ans d'écart et tu me parles de votre époque on dirait une vieille dame de 500ans.

Zeynab: et tu me dis que c'est moi qui exagère pouf en tout cas je ne vais pas partager mon mari avec elle hein je suis trop amoureuse pour le supporter dit elle en riant,et puis imagine bamm on decouvre que mon mari n'est pas son fils et que depuis qu'elle lui a vu elle est tombé amoureuse c'est pourquoi elle lui a adopté.

Ok c'est officiel elle est complètement folle avec ces imaginations digne d'un film rocambolesque.

Moi: Zeynab dis-je en mettant ma main sur ma taille, je crois que la nourriture d'hier ne t'a pas encore lâchée va te coucher après on parlera de tes imaginations.

Zeynab: ok c'est bon mais imagine....

Moi: je ne vais rien imaginer du tout maintenant sort de ma cuisine .

le désespoir d'Aïcha Où les histoires vivent. Découvrez maintenant