Chapitre 14 : Le roman

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10 ans auparavant.

Les crépitements du feu est le seul bruit dans la pièce sans compté le bruit des touches de mon clavier que je maltraite depuis désormais une trentaine de minutes. Des mots font des vas et vient sur mon écran qui illumine ma tête d'une lumière bleutée.

J'amène la tasse fumante à côté de moi à ma bouche pour gouter à son breuvage herbes des alpes. Une fois cette dernière reposer, je tente un ultime essai mais quand je vois la phrase s'effacer à cause de la touche « Annuler », j'émets un grognement de mécontentement qui résonne dans toute la pièce attirant l'attention de la magnifique blonde assise dans le fauteuil positionner juste à côté de la cheminé.

Le feu maintenant bien consumer illumine son visage faisant en sorte qu'on ne voit que elle. Ses deux perle bleu me regardaient avec un air soulé que je connais que trop bien depuis quelques jours. Elle dépose son livre sur la petite étagère beige derrière elle et se dirige vers moi dans un soupire.

Son bas de pyjama rouge à carreau lui font de belles formes ainsi que son pull où deux petit chat résident, leurs queux formant un coeur sur sa poitrine magnifiquement bien dessiné que je ne me gène pas de regarder avec insistance. Elle le remarque très vite se qui la fait sourire autant que moi. Sr qu'elle est belle...

Une fois devant moi, elle essaye de prendre un air sérieux que je prends à la rigolade.

- Que se passe-t-il encore mon amour ?

- J'ai un gros problème... Tu es devant moi encore habillé alors que je te préférerais dans le lit sans habille.

Ma remarque lui arrache un faible sourire qu'elle dissimule très vite pour reprendre sa tête d'une maman qui est soulé par son enfant. Comprenant que je n'aurait pas une partie de jambes en l'air maintenant, je souffle un grand coup avant de retourner sur l'ordinateur.

- Je n'arrive toujours pas à trouver une fin à mon histoire...

Chloé s'assoit sur la chaise à côté de moi et prend ma souris. Vu le mouvement de ses yeux, elle est entrain de lire les dernières lignes qu'elle n'avaient pas encore eu la chance de lire. Pendant se temps je détaille chaque trait de son visage si parfait que s'en est presque dégoutant.

- Vu le contexte de ton histoire tu devrais déjà plus faire une fin ouverte que fermée se qui laisserais la possibilité aux lecteurs de s'imaginer une quelconque suite et même peut-être amener à un deuxième volume.

- Oui ça j'y ai déjà pensée et mon éditeur est du même avis mais je n'arrive pas à trouver une fin. Ils sont dans se chalet qui les a vu grandir mais après je ne sais pas quoi écrire.

- Tu pourrais peut-être faire en sorte qu'il reçoive une lettre d'une autre personne qui se serait échappé d'un des nombreux local de l'organisation criminel et qui en voyant le journal où était écrit un article sur eux, les a contacté pour sauver ses compères. Cela amènerait du suspense. Est-ce qu'il voudront encore risquer leurs vie pour démonté une bonne fois pour toute leurs assaillants ou vivre désormais paisiblement pensant que la perte de deux camarades étaient déjà trop ?

Avant que je n'ait eu le temps de lui répondre que son idée était tout simplement génial, la porte du chalet dans lequel on se trouvait s'ouvre dans un fracas amplifié par la brise soufflant dehors se qui nous fait sursauter dans sa direction.

Quatre boule de neige à la silhouette humaine passe l'encadrement, la première en râlant et les trois autre en rigolant. Elles se secouèrent enlevant toute la neige qu'elles avaient se qui laissent la possibilité de distinguer désormais des combinaison multicolore.

Souviens-toi...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant