Le rêve d'une vie.

Chapitre 49

Les trois acolytes ne se doutaient pas que la soirée n'allaient pas se passer... comme prévu.

Mais pour qui ? Tél est la question...

Nous étions entrain de nous promener dans les rues de Londres, même s'il n'y avait pas forcément de quoi faire nous étions tout simplement émerveillés par les éclairages tous aussi majestueux les uns les autres.

A un moment, nous étions fatigués donc nous décidons de trouver un banc afin de s'asseoir pour récupérer.

Olivier: T'as vu comment Londres c'est beau Kyky ?

Kylian: Oui ! Mais aucune ville ne pourra détrôner Paris.

Olivier: La capital de l'amour ?

Kylian: Sans aucun doute.

Antoine: Euh les gars je dois régler quelque chose au téléphone, je m'éloigne deux secondes.

Et Antoine s'éloigna pour que nous puissions le voir mais pas entendre ce qu'il dit au téléphone.

Olivier: Tu sais, je pense que Londres devrait reprendre le flambeau de la ville de l'amour.

Kylian: Ah ouais ? Et pourquoi ?

Olivier: Il y a beaucoup de chose qui riment avec l'amour dans cette ville...

Kylian: Attends, rimer au sens propre ou métaphoriquement ?

Bah quoi ?

Olivier: Métaphoriquement Kyky, métaphoriquement. dit-il la mine légèrement tristounette.

Kylian: Ça va pas ?

Olivier: Pourquoi ça n'irait pas ?

Kylian: Je ne sais pas, simple question...

Olivier: Tu t'inquiètes pour moi ? C'est mignonnnn !

Kylian: Orh, arrêtes ton cinéma.

Je tourne ma tête et je peux apercevoir au loin un bar ouvert.

J'averti Olivier qui va avertir Antoine pour que nous puissions y aller mais c'est très curieux, en cette période de déconfinement que des bars se retrouvent à accueillir.

Nous nous dirigeons vers celui-ci et l'ambiance était un peu... bizarre ?

Déjà, je n'ai jamais vu de bar qui font payer l'entrée, genre tu paies pour être là puis tu paies pour boire à l'intérieur.

Ensuite quand nous sommes enfin entrés à l'intérieur il y avait quasiment... personne et ceux qui y étaient était des hommes qui nous fixaient intensément.

Nous finissons par nous assoir au bar et nous commandons tout les trois.

Kylian: Euh les gars ? L'ambiance est un peu bizarre non ?

Olivier: Je trouve un peu...

Antoine: Ah ! Détendez-vous c'est juste que ça fait longtemps que vous n'êtes pas entrés dans un bar.

Kylian: Euh... ok, si tu le dis.

Alors que nous étions entrain de siroter nos verres, trois policiers sont venus nous « réquisitionner » disant qu'ils recherchent une personne détenant des substances illicites et que nous correspondions aux critères des potentiels dealers.

Nous sommes conduits dans des salles différentes tout le trois mais je remarque que les policiers... ne ressemblent pas à des policiers.

Je ne stresse pas, je sais que je ne suis pas en possession de ne serait-ce qu'une seule drogue.

Arrivé dans la salle, je me mets en position pour le faire fouiller mais le policier me regarde d'une manière bizarre.

Il baisse mes bras et me pousse sur la chaise qui se situait au milieu de la pièce, une pièce aménagée mais pas pour autant relaxante.

En étant assis sur la chaise il commence à me faire un... strip-tease ?

Euh ? Je n'ai pas signé pour ça moi !

Mais en plus ce n'est même pas un truc à moitié hein... je vous épargne les détails.

Mais c'est pas tout ! Après que monsieur soit totalement nu, il commence à m'embrasser dans le cou ? Non là c'est trop.

Je le repousse en essayant de dire tant bien que mal que je n'ai pas payé ni signer pour ça.

Il faisait une tête bizarre mais m'a laissé partir.

Je retrouve Antoine mort de rire à l'extérieur m'expliquant qu'on lui a fait la même mais bizarrement, je ne vois pas Olive.

Antoine: T'as pas vu Olivier d'ailleurs ?

Kylian: Non, c'est ce que j'allais te demander...

En disant ça, nous voyons Olivier sortir de sa pièce en fou rire.

Olivier: Mais c'est ou qu'on a mis les pieds là ?

Antoine: Même moi je me demande la même chose...

Kylian: Venez on part !

Antoine: Oui !

Et en partant, c'est là que les arcs-en-ciel et les drapeaux arc-en-ciel dessinés un peu partout dans l'espace prennent tout leur sens...

On arrive chez Olivier toujours en fou rire de ce que nous avions vu précédemment, nous décidons donc d'aller se coucher dans nos chambres respectives.

Arrivé dans la mienne, je fais ma routine habituelle.

Et lorsque vient le moment de m'allonger dans mon lit pour m'endormir, j'entends la porte de la chambre s'ouvrir.

Je me tourne vers celle-ci en sursaut et j'y trouve Olivier.

Kylian: Ah ! Tu m'as fais peur, ça va pas ?

Il s'approche de moi lentement et me force à m'assoir sur le lit.

Kylian: Mais qu'est-ce que tu fais ?

À suivre....

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Bonjour !

J'ai rien a dire.

Au revoir !