Chapitre 46

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Nous arrivons chez Olivier, sans les valises mais bon, j'irais les chercher demain.

Je débarque et je suis toujours autant émerveillé par cette immense villa !

Or que c'est la seconde fois que je la vois...

Enfin bref, j'entre dans la villa et je reprends mes aises comme précédemment.

Je n'avais pas visiter toute la maison donc je décide de sortir dans la « cours arrière » qui donne face à une immense piscine.

Je suis tout autant émerveillé.

Olivier me rejoint ne comprenant pas mon émerveillement.

Olivier: Qu'est-ce qu'il y a ? T'as vu un capybara dans l'eau ?

Kylian: Mais elle est magnifique ta piscine !

Olivier: Ah ! Oui oui merci.

Je pris une inspiration et je dis:

« Le dernier dans la piscine se fait courser par N'Golo ! »

J'avais pas trouver meilleure suite sachant que...

Qu'on se le dise, N'Golo nous bat tous en 1v1.

Enfin bref, je m'élance dans ma course vers la piscine,

Olivier arrive à me rattraper tant bien que mal, nous ne sommes qu'à quelques mètres de la piscine.

Nous sautons tout les deux et nous atterrissons en même temps.

Je reviens à la surface épuisé de la course que j'ai faite.

Olivier fit de même et nous tombons l'un-l'autre dans nos regards rougis par le chlore de l'eau.

Olivier: J'ai gagné !

Kylian: Mais mdr ! Y'a égalité à la limite mais en aucun cas tu as gagné hein.

Olivier: Tu es rabat-joie !

Kylian: Oui et a-

Je n'eus le temps de finir ma phrase que je fis stopper par une vague artificielle crée par Olivier.

Olivier: En langage terriens ça veut dire, la ferme.

Ah c'est comme ça ?

Kylian: Tu es sûr ?

Olivier: Oui.

Ni une ni deux, je pris Olivier par le cou et je fis une prise de catch le mettant ainsi dans une position lui coupant d'oxygène.

Je reste ainsi environ trente seconde jusqu'à ce que je ne ressens plus aucun mouvement d'Olivier entrain de se débattre.

Je me retire de la position dans laquelle j'étais pensant qu'il essaye de me faire une blague mais la désillusion devait se lire sur mon visage lorsque je pus voir qu'il ne réagissait toujours pas.

Paniqué, je vins le saisir par le bras et tant bien que mal je le sors de l'eau.

Mais je suis vraiment débile !

-Olivier ! Olivier je t'en supplie réveilles-toi ! lui dis-je en lui tapotant légèrement les joues.

Dans la panique, je réussi à me souvenir des gestes de secours à faire !

Je contrôle dans un premier temps sa respiration, rien.

Son pou, je sens quelque chose !

Ni une ni deux je pratique les massages cardiaques essayant de garder un rythme régulier.

Le rêve d'une vie.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant