Le rêve d'une vie.

Chapitre 51

Nous n'étions plus qu'à quelques centimètres l'un de l'autre.

Prêt à se dévorer l'un l'autre.

Olivier: Tu peux te déplacer... s'il te plaît ?

Gêné, j'obtempère afin de casser l'action qui avait pour cause la gêne.

Olivier: Tu sais quand je t'avais dis que en sah, j't'aurais fait un boulot... ce n'était pas forcément maintenant là...

Kylian: Désolé... ce n'était pas intentionnel.

Olivier: J'avais compris Kylian, j'avais compris.

D'un coup, la porte de la chambre s'ouvre brutalement et on voit Antoine, essoufflé.

Antoine: Depuis tout à l'heure j'entends du bruit et puis pouf ! Plus rien, je suis monté pour vérifier si vous n'étiez pas mort...

Puis il pose ses yeux affolés qui deviennent plus calme sur nous deux assis au sol.

Antoine: Euh... vous faisiez quoi ?

Olivier: Pfff bah rien !

Kylian: Pourquoi tu pensais qu'on faisait quoi ?

Le regard d'Antoine devient méfiant.

Il se met à regarder toute la pièce, très concentré.

Olivier: Qu'est-ce que tu fais ?

Puis ses yeux se reposent sur nous.

Antoine: Olivier, t'as des marques de mains sur les avant-bras et sur ton torse et Kylian, tu as des bleus sur les cuisses... Si vous ne faisiez rien de suspect et que vous faisiez quelque chose de calme et posé alors pourquoi Olivier a-t-il sa mèche totalement défaite comme si le cyclone Irma ayant frappé l'île de Saint-Martin est passé sur lui et toi Kylian, pour tu as des marques de griffes également au niveau de ta taille et le caleçon légèrement baissé laissant apparaître ta ceinture d'Apollon et une parcelle de tes parties intimes totalement épilé et surtout... Pourquoi vous avez la gaule et pourquoi à terre ?

On est chez monsieur Giroud ou on se trouve dans la série Mentalist ?

Olivier: Alors je peux-

Antoine: -Non enfaite je m'en fous, Kylian, regarde ce que j'ai trouvé sur cette plateforme réputé appelé « Google ».

Je me relève du sol pour me trouver auprès d'Antoine me pointant son portable.

Lorsque je le vis, je pus observer la fameuse photo de monsieur Olivier Giroud Jonathan.

Olivier: Vous regardez quoi ?

Kylian: Bah... pour le coup toi à poile.

Ouais...

Antoine: Alala, toi qui croyais que jamais je ne la retrouverai... tu sais que monsieur Internet est vaste ?

Olivier: Au point où j'en suis...

Antoine: Bon les petits pervers, je vais me coucher une fois pour toute et moins de bruit durant vos ébats hein !

Ça doit être ça ouais.

Mais moi aussi je suis épuisé, lorsqu'Antoine sort de la chambre et qu'il ferme celle-ci, je me dirige dans le lit afin de dormir... ou du moins me reposer.

Olivier éteint la lumière de la chambre et vint s'allonger auprès de moi.

Je ne sais pas si nous n'avons rien à dire ou que nous sommes juste... gênés de ce qu'il s'est passé ultérieurement mais en tout cas, il y a un silence radio.