Chapitre 10

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Hey les gens ! Bon, j'ai relu mes premiers chapitres et j'ai remarqué que j'avais plusieurs fois fait des fautes sur deux prénoms dans l'histoire : 

Ellias/Elias, ainsi que Sofia/Sophia. 

Pour éviter toute confusion, je vais rétablir la bonne orthographe pour les deux : ce sera Sophia et Elias. 

Voilà ! 

C'est possible qu'il y est encore des confusions au moins jusqu'au chapitre 13, parce que ces chapitres sont déjà écrits, donc si j'ai fait l'erreur en écrivant mal ces deux prénoms dans le premier jet, il y a des chances pour que ça passe à la trappe pendant les relectures. 

Bref, merci de votre attention, et bonne lecture ! 

;)

Blake : 

Quand on quitte la salle de classe, Sophia est toujours accrochée à moi comme une moule à son rocher, et je commence sérieusement à en avoir marre. Va falloir que je rompe avec elle, et vite ! 

Mon père m'a forcé à attendre au moins une semaine avant la rupture, mais j'en ai vraiment marre. 

Tant pis, je vais rompre aujourd'hui, j'en ai vraiment ma claque ! 

Et puis, mon géniteur devrait être content, pour une fois que je vais être en avance... 

Je décide alors de profiter de l'intercours pour attirer Sophia dans un coin à l'écart.

Elle m'adresse un grand sourire, et papillonne des cils en me questionnant : 

- Oui ? Tu veux me parler de quoi ? 

- Soph, on doit arrêter ce carnage. 

Elle se fige, alors que son visage se décompose lentement. Finalement, elle souffle : 

- Mais de quoi tu parles ? 

- Notre "couple". C'est de la merde, alors on va arrêter.  

- De... Quoi, mais non ! Enfin pourquoi... Comment tu ...? 

- Mon père est d'accord si je te remplace par quelqu'un d'autre, et il se trouve que j'ai déjà quelqu'un en tête, donc voilà... Je te rends ta liberté. 

Finalement, je la vois se refermer, et pester : 

- Pourquoi tu voudrais m'échanger avec quelqu'un ? Personne n'est un meilleur parti que moi, et tu le sais ! Alors quoi, c'est qui cette pute que tu t'es dénichée?!             

Je fronce les sourcils. Personne ne parles comme ça d'Eily devant moi. 

- Mêles toi de ton cul, putain. 

Sa lèvre inférieur se met soudain et trembler, alors que ses yeux se remplissent de larmes : 

- Tu vas vraiment me jeter comme ça ?! 

Soudain, je suis mal à l'aise. Alors elle s'est vraiment attachée à moi.. Je soupire : 

- Soph... Cette situation n'est pas juste,  ni pour toi ni pour moi. Je sais pas vraiment ce qu'il en est de ton côté, mais personnellement, je ne te considèrerais jamais plus que comme une amie. On devrait pouvoir être avec les personnes dont on est amoureux, et là, ce n'est pas le cas. 

- Putain mais je t'aime moi ! 

Je ne peux retenir une grimace, gêné. 

- Je suis désolé, mais ce n'est pas réciproque. 

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