Chapitre 4.

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🌹.

Meredith.

Cette soirée ne m'inspire pas du tout confiance. Les filles sont habillé de façon assez vulgaire, à la limite du nudisme et la plus par des hommes sont soit torse nue, soit en chemise ouverte. Cependant, la musique est bonne, légèrement sensuelle, mais bonne quand même.

Avec Émeline nous allons nous asseoir sur un fauteuil tandis qu'Emma est allée commander des boissons. Comme je l'ai dis, elle ne va pas tenir sa promesse de reste sobre, et quand je l'a vois arriver avec un plateau rempli de verre d'alcool, je peste de ne pas avoir parié avec elles.

_ Je t'ai pris ton mojito, elle me dit en s'asseyant près de moi, déposant le plateau sur la petite table basse qui est devant nous.

_ Et pas que, je lui dis en l'a regardant d'un air sévère.

_ C'est bon maman... elle sourie.

Je suis de moins en moins a l'aise avec ce lieu, particulièrement lorsque j'aperçois des couples parfois de trois monter mains dans la mains a l'étage. Qu'est-ce qu'il y à en haut ?

Et puis il y a cet homme assis au bar, pourquoi me fixe t'il avec autant d'intensité ? Son regard, sa bouche, ses grandes mains autour de son verre que je devine être du whisky. Il fait monter en moi une bouffée de chaleur. Je ne comprend pas pourquoi est-ce qu'il m'attire autant.

Peut-être que c'est à cause de la musique et de l'alcool qui me monte à la tête.

Je ne sais pas qui il est, mais une chose est sûre, de l'a ou il est, je ressens sont désirs pour moi, et bizarrement c'est réciproque.

Ça doit faire une bonne dizaine de minutes que nous nous fixons et que j'essaye de détourner le regard, mais je suis attiré par cet homme comme un aimant, pour fuir la situation, je décide de partir explorer les lieux où du moins juste sortir de son champ de vision.

_ Je vais aux toilettes, je dis à mes copines.

Je décide de laisser place à ma curiosité et de monter à l'étage. Je tombe sur un grand couloir ou des portes sont disposés à droite et à gauche avec des inscriptions dessus.

Sur la première porte qui est à ma droite il est inscrit « with many », celle à ma gauche s'intitule « attach ». Ce sont des noms qui n'ont pas vraiment de sens pour moi. Je décide cependant de rentrer dans celle qui s'appelle « more heat », elle a plus piquée ma curiosité que les autres.

J'ouvre la porte et la referme derrière moi, une lumière blanche apparaît et disparaît immédiatement au claquement de la porte.

La pièce est baigné dans une lumière rouge, où un grand lit est situé au milieu de cette pièce. Plusieurs étagères y sont disposées, comportant plusieurs objets différents.

Je m'approche de l'une d'entres elles et prends un objet au pif. J'y crois pas, il a exactement la même forme qu'un sexe masculin, mais en plastique. Sans faire exprès j'ai appuyé sur un bouton, et il a commencé à vibrer dans ma main. Prise de panique, je l'ai laissé tomber par terre, et cette lumière blanche est apparu puis disparu.
C'est comme des leds qui seraient posées juste en bas du lit. Je décide de frapper dans mes mains, et la lumière apparaît et disparaît au son des claquements.

J'ai pris du temps à comprendre ce que cela signifiait et maintenant que je sais où est-ce que je me trouve, bizarrement je n'ai pas envie de partir je continue d'explorer la chambre.

Je tombe sur d'autres objets similaires, que ce soit des cordes, des laisses ou toujours des sexes vibreur.

_ Ça te plaît ce que tu vois, j'entend une voix grave et sensuelle me dire.

Je me retourne en sursaut et tombe nez à nez avec cet homme qui était au bar.

_ J-e, je, bégayais-je.

Je ne sais pas quoi lui dire, je me suis faite prendre au piège.

_ Que faites vous ici ? Je me surprend à lui demander.

_ Permettez-moi de vous retourner la question, il me dit en prenant le faux sexe masculin que j'avais en main.

Je ne sais pas quoi lui répondre et essaie de fuir le plus que possible son regard clair. Ses lèvres roses pulpeuses s'étirent en un parfait sourire et montre des dents parfaitement alignées.

_ Je- j'explorais juste, lui dis-je prête à quitter cette chambre, mais il m'attrape par le bras. Ce
simple contact m'électrise.

Je lui fais donc face. Son regard transperce d'abord le mien avant de tomber sur mes joues puis mes lèvres. Je dirais qu'il est en train de m'analyser, comme s'il était un robot.
Il me procure des papillons dans le ventre, cet homme est l'illégalité en personne.

Herrschaft, le dominant et la soumise.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant