Angel's Rider [ EN CORRECTION ]

☆NUMERO UN☆

"On apprend lorsque l'on est jeune et on comprend avec l'âge." - Marie Von Ebner-Eschenbach

ANGELINA

_ je te préviens c'est la dernière fois que je viens, maintenant oublie moi, je dis en claquant la porte, putain de connard, je soupire en allant vers ma moto ou mes amis m'attendent.

Quand je lève les yeux vers eux, le souvenir de quand je les ai rencontrés me revient en mémoire comme toujours, en flash. Nick et Ian qui sont devant moi ainsi qu'avec Drew qui lui n'est pas là, ont connu mon père d'une façon assez spéciale. Enfaite ils ont essayé de lui piquer sa moto à lui et ses amis quand ils étaient dans un bar et quand ils sont sortis et qu'ils les ont trouvés à traficoter dessus, les amis à mon père ont voulu leurs mettre une branlée, mais mon père les a arrêter avant et quand ils les a ramener au club et qu'il m'a raconté cela j'étais morte de rire, eux beaucoup moins je le voyais comme ils regardais tout le monde effrayé, en même temps ils y avait une tonne de mec baraqué tout autour d'eux, alors j'avoue qu'ils ne faisaient plus les fière après cela.

J'entends encore la voix grave de mon père ce jour-là.

_ ils ont voulu voler nos bécanes ses débiles tu t'en rend compte, il m'avait dit en souriant alors que j'étais derrière le bar.

Quand je les avaient regardé j'avais souris, le seul qui n'avait pas peur c'était Drew je le voyais dans son regard il n'était pas du tout impressionné et je suis sûr que mon père la vue aussi ce jour-là surtout après ce qu'il lui avait répondu quand il lui a demandé s'il était au courant que d'essayer de voler des motos à des motards n'était pas super intelligent. Il lui a sorti que de toute façon avec ce qu'ils faisaient et le fric qu'ils se faisait il aurait pu sens prendre d'autre et que ce n'étaient pas des mecs comme eux qui lui faisaient peur, qu'il en avait vu d'autre, mais que s'il voulait sens prendre à quelqu'un c'était à lui et qu'il devait laisser ses amis tranquilles.

Cette nuit-là, mon père a aimé la loyauté incroyable de Drew et surtout la réaction des autres qui lui ont répondu qu'il était trop con s'il pensait qu'ils allaient le laisser régler cela seul avec eux. Alors à la suite de cela mon père leur a juste dit de les suivre et qu'il avait un truc à leur proposer. Ce qui a fait qu'ils sont devenus prospect tous les trois ensembles. Moi et Tyler on a adoré les faire chier à ce moment-là et notre amitié c'est créer et on ne ce n'est plus jamais quitté. Puis mon père est décédé et j'ai tout perdu, ma raison de vivre, mon héros... Alors la vie est partie en vrille, mais ils ont été là pour moi à chaque moment, alors je peux dire que grâce à eux je suis celle que je suis aujourd'hui, surtout avec mon cerveau, je suis une fille avec un QI de 160, vous pouvez m'appeler génie, virtuose, prodige etc. cependant ont dit de moi que je suis une personne à très très haut potentiel intellectuel (TTHQI) ouais chelou hein. Comment mon père l'a su ? et bien je vais vous le dire, c'est simple...

Quand j'étais petite j'ai lu tous les livres que mon père m'achetait et cela sans lui, je pouvais résoudre des choses que ma maîtresse notait sur le tableau au bout de même pas deux secondes... Seul point négatif je n'arrivais à parler à personne, la seule personne à qui je parlais c'étaient les gens de mon entourage et quel entourage, plein de motard baraqué avec plein de tatouage. Arrivé au collège j'étais toujours autant dans mon coin, mais à ce moment-là Tyler est arrivé alors il m'a beaucoup aidé... En vrai, depuis qu'il est dans ma vie je peux dire que je vie une vie tout ce qu'il y a de plus normal pour une fille comme moi, même si ce n'est toujours pas comme les autres. Bien que lui avait des amis moi je ne m'intégrait pas vraiment à son groupe, je traînais avec eux certes, mais je ne parlais pas beaucoup, j'analysais la plupart du temps et quand on rentrait des cours je passais ma vie dans le garage de mon père à refaire des voitures et des motos pendant que lui profitais, après je ne lui en ai jamais voulu parce qu'il savait très bien qu'il me fallait ses moments seule loin du monde extérieur.