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Ahah ! Alors je suppose que le jeu est lancé.
"...Quel jeu...?"
"Celui qui obtient (T/p ) est victorieux."
« Bien sûr...Alors 𝐣𝐨𝐮𝐨𝐧𝐬 »
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Pas comme si tu étais un weeb ou quoi que ce...
Je me suis promené dans le parc vêtue de mes vêtements favoris, cherchant Kiibo. Je me sentais mal d'avoir laissé Kokichi derrière moi, cependant, ils ont tous les deux accepté cette compétition.
Je me demandais où était Kiibo, ou s'il était même ici en premier lieu.
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Cependant, j'ai arrêté de marcher et je me suis assis sur un banc près des arbres d'où tombaient des fleurs. J'espérais que Kiibo serait bientôt là, pour que je puisse passer toute la journée avec lui.
Kiibo : Hé, Y/Oc.
Je me tournai pour voir Kiibo assis à côté de moi avec un sourire sur son visage.
Tp : Bonjour !
Kiibo : Je... je euh... j'ai ça pour toi...
Kiibo m'a tendu un bouquet de ma couleur de fleurs préférée, qui correspondait à mes préférences de manière effrayante, et un livre. Un certain livre... Frankenstein.
Tp : Oh... Euh... Merci.
Kiibo : Je-j'ai juste pensé à... acheter ces choses parce que... je les trouvais jolies ! Jolies... Jolies... comme toi...
Je souris à Kiibo, comprenant les mots qu'il disait.
Tp : Eh bien, j'apprécie tout cela. Vraiment.
Kiibo avait l'air de s'être évanoui, regardant mon visage, sans fin. Je n'ai pas pu m'empêcher d'en être dérangé, même si je l'ai pris comme un léger dysfonctionnement.
Tp : Hé, Kiibo, ça va ?
Kiibo : Ouais... Ouais, je vais bien.
Nous nous sommes regardés pendant quelques secondes de plus avant qu'il ne se penche vers l'intérieur. Je me suis légèrement incliné en arrière, ne sachant pas ce que c'était au début. Bien que... j'ai réalisé... pourquoi tout cela arrivait.
Était-ce sa façon de me dire quelque chose ?
Quelque chose... de spécifique ?
Ou est-ce que je réfléchis trop...?
Mon esprit s'emballait avec toutes ces pensées et ne s'arrêtait pas lorsque des lèvres métalliques touchaient les miennes.
Me considère-t-il comme une ami ?
Ou est-ce plus ?
Les humains ordinaires penseraient que c'est plus...
Mais je me demande comment il se sent. Je l'ai simplement poussé loin de moi, espérant qu'il ne penserait rien de négatif. Ayant toujours une emprise sur son corps, j'ai regardé le banc en bois sur lequel nous étions assis.
Tp : Comment... Que ressens-tu exactement pour moi ?
