• 𝑪𝒉𝒂𝒑𝒊𝒕𝒓𝒆 𝒗𝒊𝒏𝒈𝒕 𝒔𝒆𝒑𝒕 | 𝑴𝒊𝒏𝒉𝒂 𝒃𝒆𝒍𝒆𝒛𝒂 •

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HENA WILSON

𝑴𝒂 𝒃𝒆𝒍𝒍𝒆

Il était tard, au vu de la lune qui pointait le bout de son nez au-dessus de la porte-fenêtre.

Je me relevais du mieux que je pouvais, ma main se posait sur les barreaux, mais non cette porte était bien fermer à clef, je me rasseyais le plus loin possible quand j'entendais du bruit provenir de l'étage.

Et là, c'était le garçon que je voyais réapparaître avec une sorte d'enveloppe dans la main et une question me chatouillait la langue :


— Dis-moi garçon ?

— Oui ?

— Comment t'es tu retrouvé ici ?


Il me regardait en fronçant les sourcils :


— Je voulais entrer en école de médecine, mais j'ai raté mes examens et un homme m'a accosté et m'a proposé un travail et j'ai accepté sans savoir que c'était pour la mafia...


Je hochais la tête, triste vie.


— Et toi ?

— Moi, je viens d'Italie, j'avais une belle vie, une relation assez bizarre avec un de mes professeure à l'université je te l'accorde, hahah, deux amis incroyable, Arthur et Mérid-... Je peux te le-..


Ses yeux s'agrandissaient de frayeur, son tas de feuilles tombaient au sol et il me demandait en tremblant.


— T... Tu as dit... Quoi ?

— Je viens d'Ital-...

— Non tes... Amis ?

— J'ai deux amis formidables qui s'appellent Arthur et Mérid ! Tu es sûr que tu vas bien.

— Je... Oui, je pense, c'est quoi... Leurs noms de familles...


Son regards étaient comme suppliants.


— Heu, je ne comprends pas...


Il se baissait vers le sol et restait à genoux me regardant et en me suppliant du regard.


— Si tu me donnes le nom de famille, je peux te dire le nom et depuis quand la femme et là

— Eh... Pourquoi ?

— Je...- J'ai une connaissance qui s'appelle comme ça.

— Mackenzie-...


Et là, je croisais son regards, des larmes coulaient sur ses joues. Sa tête se posait contre le sol et on aurait dis qu'il exerçait une prière.


— Mon Dieu.


Je restais dans le coin de la pièce afin de ne pas le déranger, quand soudainement, il me disait une phrase qui me faisait écarquiller les yeux.


— Je... Tiens, il m'offre les clefs de ma cellule en me disant, prends ce que tu veux, mais je veux juste que tu m'aides à le retrouver.

— Je veux savoir pourquoi ?

— C'est mon frère.


Le choc me faisait reculer, Mérid ? Un frère ? Il ne m'en avait jamais parlé !


— Je... Il ne m'a jamais parlé de toi !

— Regarde.


Il sortait son téléphone portable de sa poche et me montrait son journal d'appels et mes yeux s'arrondissaient quand je voyais plusieurs fois le nom du concerner.


— Appelle-le, je veux savoir si c'est bien le même.


Aussitôt dis aussitôt fait, de longs bip se font à l'intérieur du combiner, son sourire s'effaçait soudainement quand les sonneries s'enchaînent puis soudainement


« — Allô ? »

« — OH MON DIEU ! Je ne peux m'empêcher de crier. »

« — HENA ? HENA, C'EST TOI ? »

« — MON DIEU, ARTHUR. »

« — Arthur, tu as dit quoi ? Hena ? Hena ? T'es là. »


J'entendais la voix de Scott aussi, ce qui me faisait perdre mes mots.


« — Oui, c'est moi. »

« — IGLESIAS, bordel, tu ne
tombes pas mieux mon frère. »

« — Dis-nous où êtes vous ? »

« — Euh, 340 avenue de Los pesos à l'écart de Lisbonne, dépêché vous les gardes font leurs roulements à 23 heures 35, je vais essayer de sortir avec elle. »



Un rire de joie me prenais, je me relevais de mon coin et je ne pouvais m'empêchais d'enlacer le jeune homme :


— Je suis vraiment désolé pour ce que je t'ai dit tout à l'heure, je ne le voulais pas, je suis obligé d'être menaçant avec les détenus. Je n'avais pas envie de...-

— Ne t'inquiète pas. J'ai cru le comprendre.

— On doit partir


Il ouvrait la fenêtre, enfin la cassé après y avoir lancée un objet dessus :


— Attends et la femme dont tu m'as parlé ?

— Je, oui alors son nom, c'est Flore, Flora, oui c'est ça c'est Flora son prénom et je crois que son nom de famille c'est Wilson... a moins que...-


Et là, mon monde s'écroulait.














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OH MON DIEU .....

J'ATTENDAIS D'ÉCRIRE CE CHAPITRE AVEC IMPATIENCE

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