Aysha: « De la haine à l'amour il n'y a qu'un pas. »

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Salam Aleykoum wa rahmatullah wa barakatuh 💕
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Il se lève du lit, et s'approche de moi. Je recule, et lui s'approche. Il m'attrape le bras et m'avance vers lui très violemment. Nos visages étaient prôchent, je sentais ça respiration sur moi,il me regardais droit dans les yeux sans détourner le regard, son regard était froid, glaciale et ardant.

Aryan: chuis gentil avec toi, là, je me contiens.

Gentil ? C'est moi ou ont n'a pas la même définition de gentil.

Moi: pourquoi t'es comme ça, et puis lâche mon bras tu me fais mal.

Il sert encore plus fort je sortait 

Moi: c'est quoi ton problème avec toi.

Il fronce les sourcils, tout en restent neutre. J'avoue que ma question dit comme ça, on pourrait croire que ma langue a fourché, mais je sais très bien ce que j'ai dit, il a clairement un problème avec lui-même.

Aryan: avec moi ? Je pense que ta des problèmes vas te faire soigner, si tu veux je paye ton passage chez le psy.

Moi: arrête je suis pas conne, si tu n'avais pas de problème avec toi-même tu ne serais aussi... méchant.

Aryan: parce que là tu me trouve méchant ?

Moi: ta voulu me tuer donc à ton avis.

Il resserre l'emprise sur mon poignet. Wah je pense que j'aurais plus de poignet avant la fin de la journée.

Aryan: trouve moi méchant, comme ça te chante, mais arrête de me les casser.

Il lâche subitement mon poignet, au moins cette fois-ci il ne la pas jeter , c'est bien ? Non ?

Il s'en vas en claquant la porte. J'ai aussi entendu après ça la porte de l'entrée ce claqué. J'ai pas m'en empêcher j'ai pleuré, j'arrivais pas a croire que je suis marier a cette homme, ça me dégoutais. Je me suis effondré en larme, Aysha tu peux pas t'abaisser à ça, en tous cas pas pour lui.

...

J'étais caché dans un armoire. Les deux mains sur mes oreilles. J'essayais juste d'étouffer les cries provenant du salon. Des larmes coulaient le long de mes joues, mes mains tremblait de frayeur.

J'entendais des cris de douleur provenant du salon, c'était la voix de ma mère. Je l'entendais hurler. Et j'entendais la voix d'un homme qui ne faisais que répéter la même phrase « Elle est où ! », « je ne veux pas d'elle ! ».

Ces pas s'approchait de l'armoire je le sentais arriver.

...

Et là je sens quelqu'un me touchée le bras, et je me lève en sursaut.

Ce n'était qu'un cauchemar.

Après mon altercation avec le psychopathe il s'en n'ai allé et après je me rappel qu'après avoir finis la prière je m'étais endormi.

Ma respiration était forte, et j'étais en sueur. Mes mains étaient moites.

Je tourne légèrement mon visage vers la personne qui m'a réveillé. C'était une vieille femme, très belle, et voilé. Elle avait un sourire rayonnant. Elle était vêtu d'un tablier.