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As-Salām Alaykum Wa Rahmatu-Ilahi
Wa Barakatūhu. 💕
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Les mots ne me paraissait pas fort de mon avis. Mais visiblement de son côté c'était autre choses.

Il me sert extrêmement fort le poignet, puis il attrapé violemment ma mâchoire. Notre distance physique était assez proche, pour que je puisse sentir sa respiration saccadé. Elle est sûrement dû à son énervement. Je ne comprenais pas ce que je lui avais fait de mal pourtant j'ai l'habitude de lui dire ce genre de choses. Qu'est ce que j'avais causer pour le faire susciter autant d'énervements à mon égard.

J'avais du mal à me débattre. Aryan est deux fois plus lourd et grand que moi. Qu'importe, le geste que je faisais, il l'intercepté par la suite. Déjà le simple fait qu'il puisse pouvoir tenir mon visage avec une seule de ses mains, montre notre différence physique. Mais c'est vrai qu'il a une force assez conséquente. Je suis certaine qu'un seul coup de poing de ça part peut m'être fatale. Je respirer son odeur . L'odeur était si puissante qu'elle leur devenait étouffante.

Par ailleurs, la douleur était insoutenable. J'avais tellement mal et puis son regard glacial et plein d'envie suicidaire n'arrangeait pas les choses. Ce n'était pas la première fois que je faisais face à ce regard. Et ceux qui m'agacer le plus, c'est le fait que ses yeux étaient particulièrement beaux. Ils n'avait rien à faire sur ce visage. C'étaient censé inspiré un paysage paisible verdoyant. Mais visiblement c'est tout l'inverse à part de l'orage, ont observe rien d'autre.

Il ne mérite pas ses yeux.

Moi: T..Tu me fa..fait mal.

Aryan: j'en ai rien à foutre. C'est la dernière fois que tu me manque de respect.

Il relâche ma mâchoire d'un coup et c'est mon corps entier qui retombe au sol. Il me laissa planter là et part en claquant bien sur la porte de la chambre derrière lui. Je savais pas si je devais pleurer ou m'en moquer de ça violence qu'il émettait à mon égard.

Son comportement était incompréhensible. Il a déjà eu des comportements violents de ce type mais j'avais fait de réel choses ces jours là. Mais aujourd'hui, aujourd'hui c'était inutile. J'ai pas cherché à comprendre plus. J'ai repris mon souffle. Je savais que réfléchir à la cause de son comportement allait juste me casser le crâne donc j'ai simplement préféré prendre mon téléphone et m'en aller.

C'est à peine que je ferme la porte derrière moi, que je perçois Nahël. Il avait un regard particulièrement perturbé.

Nahël: ton mari m'a l'air sacrément énervé.

Ah, alors, elle a sûrement dû voir son cousin sortir de la chambre. Je n'ai rien dit, j'ai juste souri faiblement avec un petit sourire qui lui montre que tout allait bien.

C'est faux.

C'est alors que ces yeux me dévisageais de haute en bas. Mais il s'arrêta sur une partie de mon corps. Mes poignées qui était légèrement découvert. Il fixa mon poignet droit précisément. Quand je le remarque je met mon bras légèrement en arrière afin de couvrir les marques. Oui car comme nous le savons c'est le poignet qu' Aryan a pour habitude d'attraper.

Nahël: Tu-

Il ce fait couper la parole pas un bruit soudain de porte. Et des salutations venant d'en bas. La famille de Abdel venais d'arriver. Al Hamdulilah aujourd'hui y'a beaucoup de choses qui m'aident à éviter des sujets gênants.

Moi: tu viens ont vas saluer ?

Je ne le laisse pas répondre. Je me met automatiquement en route vers les escaliers. Il est resté une demi seconde sur place puis il m'a suivi.

Aysha: « De la haine à l'amour il n'y a qu'un pas. »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant