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Salam Aleykoum wa rahmatullah wa barakatuh 💕
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J'essaye de la faire sortir du coffre, mais d'un coup je vois une main apparaître sur la valise. Cette personne la porte et quand je me tourne je vois

Nahël.

Je souris automatiquement à sa vue, ça fait un moment que je ne l'ai pas vu. Il était vêtu d'un short gris nike arrivant en dessous de ces genoux des claquettes et un t-shirt gris nike. Ces cheveux étaient mouillés je déduis qu'il sort de la douche. Il était toujours aussi charmant et le voir vêtu d'une tenue plus intime et naturel améliorait son charme.

Moi: Salam Aleykoum.

Nahël: Aleykoum salam.

Et nous nous sourions en ce regardant.

Moi: tu sais je pouvais le faire toute seule.

Nahël: non t'inquiète pas toi monte je vais les prendre.

Moi: merci.

Il allait tout juste s'en aller quand je sens un autre personnage. Je me tourne et vois Aryan. Il était pas au téléphone lui ?

Nahël: Ah Selem Aryan.

Aryan: donne je vais les monter.

Nahël: non c'est bon t'inquiète je-

Aryan: donne.

Je comprends pas pourquoi il est si agressif avec Nahël.

Moi: Nahël c'est bon t'inquiète pas, il a d'autres sac qui m'appartiennent tu peux les monter aussi.

Il dépose les valises et ce met à mes côtés pour prendre les autre bagage. Aryan lui s'en vas.

Moi: désolé il est pas très d'humeur.

Nahël: il est jamais d'humeur.

Je rigole.

Moi: oui c'est vrai mais parfois ça lui arrive de l'être.

Nahël: j'aimerais bien être là quand ça arrive.

Je souris. Il prends les autres sac et s'en vas c'était les derniers. Je prends mes bras et les lève pour enfin fermer ce coffre qui est très haut. En même temps il prends des voitures qui son trop grosses et haute c'est difficile de descendre sans tomber carrément.

Sans que je ne pu atteindre le bout de coffre elle ce ferme de suite. C'était pas moi. Je tourne ma tête et je vois Aryan. Mais il a fait vite pour monter les valises.

Moi: Merci.

Il répond pas et je préfère même pas y prêter attention je me dirige vers la maison elle était déjà ouverte. Je rentre et tombe sur une vu mémorable. Il avait les enfants qui courait de partout les parents qui étaient sur le canapé et qui rigolait entre eux. Les filles qui parlaient et rigolaient.

Safâ: Ah !!! Aysha faut que tu vois votre chambre c'est la plus belle.

Moi: ah ouais ?

Aysha: « De la haine à l'amour il n'y a qu'un pas. »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant