Verana
Son corps tremble au-dessus du mien, je sens encore les pulsations de son sexe dans le mien.C'était vraiment le meilleur choix de ma vie de rester en Russie.
— Blya... (Oh putain...).
Il se retire et détache mes mains.
Son corps est luisant de sueur, tout comme le mien.
Je déglutis alors qu'il va jeter le préservatif à la poubelle.
Il revient à côté de moi et me prend dans ses bras. Je retrouve la chaleur de son corps.
Il prend mon poignet dans sa main en y voyant les traces rouges.
Je n'avais jamais essayé les menottes...
— Je t'ai fait mal ? demande-t-il inquiet.
J'hoche la tête négativement. Il dépose des doux baisers tout autour de mon poignet.
— Tu penses qu'on a le temps de dormir avant d'aller chez ta tante ?
Il regarde l'heure sur l'horloge.
— Non, on a déjà mis trop de temps.
— Je suis exténuée, Alessio...
— Moi aussi, mais il faut y aller, muya lyubov'.
Je soupire.
— Je vais me doucher alors.
— Je peux venir avec toi ?
– À condition que tu tiennes ta bite en place.
Il fait une expression boudeuse.
— Pourquoi pas ? On le fait toujours vite sous la douche...
— Alessio.
— Ok, ok, on ne fera rien.
On va se doucher et je vais m'habiller. On doit aller dîner chez sa tante.
Je le sens soudain venir et il glisse sa main dans mon sous-vêtement avec un vibromasseur.
Un gémissement m'échappe en le sentant enfoncer l'objet dans mon vagin. On l'a déjà fait à plusieurs galas, et, le connaissant, il adore me taquiner en l'activant sur son téléphone à des moments critiques.
— Mets une robe pas très ouverte, il fait froid dehors.
Je finis de m'habiller. On sort avec Alex et Alexio.
Je monte dans une voiture avec mon petit ami.
Il conduit un moment avant qu'on arrive à une grande villa.
J'avais oublié qu'il y avait Adrian aussi.
Ils ont l'air si heureux dans cette famille. Ils ont leurs deux parents, des parents incroyables, un grand frère comme Adrian.
Je m'assois à côté d'Alessio à table.
— Tu restes ici définitivement, Vera ?
me demande Henri, le mari de sa tante.
— Pour l'instant, c'est ce qui est prévu.
— Tu as prévu de la demander en mariage quand, Alessio ? demande sa tante.
Mes joues s'empourprent à cette idée.
Il sourit.
— J'ai pas besoin d'une bague pour prouver mon amour, ni d'un mariage.
Je souris à mon tour, il est trop mignon.
On commence à discuter, et je sens soudain le vibro s'activer.
Je retiens mes gémissements en lui serrant la main alors qu'il augmente la puissance.
Oh mon dieu !
— Excusez-moi. dis-je en me levant pour aller à l'intérieur.
Je m'enferme dans les toilettes alors qu'il continue à jouer avec la puissance de ce vibro.
Il me rejoint à peine quelques minutes plus tard pour me faire jouir.
C'est horrible de devoir garder le silence face à ce plaisir...
Alessio
Après trois petites heures, nous sommes rentrés à la maison. Ma princesse est partie se coucher. De mon côté, il faut que je finisse encore quelques trucs.Je suis heureux qu'elle ait choisi de rester... je n'ai jamais été si heureux de toute ma vie avec une telle femme.
Ça me donne envie d'aller la rejoindre...
Mais il faut que je finisse ça avant.
Une petite heure passe avant que je ne termine. Je me dirige vers la chambre, elle ne se trouve pas dans le lit.
Je la retrouve dans la salle de bain, en train de pleurer.
Pourquoi elle pleure ? Je sais qu'elle n'a pas ses règles. Quelqu'un a fait quelque chose de mal ?
Elle essuie ses larmes, mais les prochaines reviennent.
Je la prends dans mes bras.
— Qu'est-ce qui se passe, moya lyubov' ?
— ... j'ai... j'ai vu un cauchemar... dans lequel Baston me répétait en boucle ce qu'il voulait me faire...
Sa lèvre tremble, montrant à nouveau qu'elle va sangloter.
— Ça va aller. Il n'est plus là, il est parti. Je suis làЯ lyubov'. я любовь. Personne ne pourra te toucher.
Elle pleure un petit moment avant de commencer à se calmer. Je l'emmène à notre lit et la recouvre de la couverture.
Je la serre fort dans mes bras. Je caresse ses cheveux et dépose des doux baisers sur son épaule, je sais que c'est ce qui la calme.
Elle souffle, fatiguée.
— Endors-toi, je suis là maintenant.
— Reste avec moi jusqu'à ce que je me réveille... s'il te plaît.
— Je suis là, ne t'inquiète pas mon amour.
Elle enfouit la tête dans mon cou.
Ma princesse...

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ALVE
Romance"Nos pères étaient ennemis, mon tatouage juste au dessus de ma poitrine prouvant fièrement que je suis la fille de Espanto. Je respire un bon coup avant de m'avancer alors qu'il discute avec un autre homme l'air lui aussi important. Je prends le ve...