Le bruit de l'ascenseur me fait sortir de mes pensées. Je le vois enfin arriver.
Alessio est parti depuis déjà une semaine, cette nuit que j'ai passé avec lui était inoubliable, mais il est parti.
- Excuse-moi du retard. Me dit Livio.
- Pas grave. Dis-je alors qu'il alors qu'il s'assoit à côté de moi.
L'organisation du gala des Suarez s'est toujours déroulé avec l'aide de Livio et sa coopération. C'était pareille pour son père et mon grand-père etc.
On passe quelques heures à s'occuper de ça, la nuit arrive vite, il doit déjà être une heure du matin.
Je tourne soudain la tête vers lui et mes lèvres sont seulement à quelques centimètres des siennes.
J'ai affreusement envie de l'embrasser... oh mon dieu...
Avant même que je n'ai décidé de le faire il le fait.
Je goûte à ses lèvres qui ont un goût de whisky menthe.
Je me mets à califourchon sur lui et lui retire son t-shirt. Je sens son érection sur mon intimité sur laquelle je commence à faire des vas-et-viens à travers le tissu.
Il dépose des baisers dans mon cou, et continue sur tout mon corps.
Il me retire mon top et suce l'un de mes seins me faisant follement gémir.
Il se débrouille à la perfection, bien évidemment, il a beaucoup plus d'expérience que moi.
Il a 25 ans, pourquoi je ne couche qu'avec des hommes plus âgés que moi ?
Il me balance sur le canapé, retire es derniers bouts de tissu et glisse la tête entre mes cuisses.
- Oh mon dieu ! J'hurle en se tant les miracles de sa langue en moi.
Je serre le dossier du sofa, sentant l'orgasme arriver à toute vitesse. D'une autre main je tire ses cheveux.
Je jouis. A peine n'ai-je eu le temps de reprendre mon souffle qu'il se déshabille, prend une capote et revient à moi. Il me demande l'autorisation et j'hoche la tête.
Seulement au premier coup de rein j'aurais pu jouir, mon intimité sensible de son dernier orgasme.
Il fait des vas-et-viens de plus en plus rapide tout en m'embrassant.
Il pose sa main sur mon bas ventre, je sens son sexe aller jusque là.
On finit pas jouir à l'unisson.
Il s'effondre sur moi, essoufflé.
Oh mon dieu...
Il se retire ce qui me provoque un dernier tremblement.
Il va jeter la capote à la poubelle avant de revenir à moi, il me porte voyant que mes cuisses tremblent encore de mon dernier orgasme.
- Si ton père l'apprenait il me tuerait.
- Je suis adulte, je fais ce que je veux Livio.
- Il va quand même me buter.
Je l'embrasse.
- Il ne te fera rien.
Il allume l'eau de la baignoire et me pose sur le comptoir du lavabo.
- Tu l'avais déjà fais ?
- Une seule fois, avec Alessio.
- Et tu vas faire de moi ton pansement pour l'oublier ?
- Je sais pas.
- Tu peux le dire Vera ça me dérange pas d'être ton plan cul tu sais ?
Je ricane.
- Tu veux être mon plan cul ?
- Oui.
- Alors sois-le.
Il sourit et m'embrasse vigoureusement, ses doigts passent à nouveau entre mes cuisses m'attachant un gémissement.
Comment ai-je pu rester 20 ans sans connaître le plaisir du sexe ?
Il me fait jouir une seconde fois avant d'aller dans le bain, en me prenant sur ses genoux.
Après une dizaine de minutes on le refait même dans le bain.
Mon dieu j'ai l'impression qu'on ne va pas s'arrêter.
Et c'est bien ce qui me semblait, on le refait dans le lit, sur la balcon, sur son bar, un peu partout jusqu'à ce qu'on soit complètement épuisés.
C'est incroyable de faire l'amour avec une personne qui connaît tout du sexe, chacune de mes parties sensibles il les connaît.
On se couche sans même prendre la peine de se doucher.
Soudain mon téléphone retentit. C'est mon père.
- Laisse je vais répondre. Dit Livio.
Il prend le téléphone et l'amène à son oreille.
Il revient me prendre dans ses bras.
- Tu peux dormir, c'est bon. Dit-il en tirant la couverture sur mon corps.
Je l'embrasse une dernière fois avant de m'endormir rapidement.
VOUS LISEZ
ALVE
Romance"Nos pères étaient ennemis, mon tatouage juste au dessus de ma poitrine prouvant fièrement que je suis la fille de Espanto. Je respire un bon coup avant de m'avancer alors qu'il discute avec un autre homme l'air lui aussi important. Je prends le ve...