29 : Flics

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Verana
Je m'assois sur les genoux de mon futur mari. On doit préparer le mariage donc on a ramené toutes les personnes qui vont être importantes. Mon père, Isaac, Livio qui a arrêté de se battre avec Alessio, Alex et Alexio ainsi que la tante d'Alessio, qui est comme sa deuxième mère.

Il faut aussi qu'on décide des parrains de nos filles.

- Papa tu viendras avec moi pour l'essayage de ma robe demain, et pour vos costumes vous avez pris rendez-vous ? Je demande.

- On a prit rendez-vous chez le tailleur pour demain.

- L'organisatrice de mariage vient dans deux jours elle va nous proposer des thèmes. Tu as réservé la salle ? Je demande à Livio.

- J'ai réussi à l'avoir ta salle dont tu rêvais tant.

Un sourire se feint sur mes lèvres.

- A la date prévue n'est-ce pas ?

- Bien sûr.

- Les invitations ont été envoyés ?

Alessio hoche la tête.

- Il y a en a combien qui sont présents ?

- Trois cents personnes je crois, dans les environs.

- Il faut aussi qu'on trouve un traiteur. Et un pâtissier pour le gâteau.

- Calme-toi Vera il y a encore des mois avant le mariage. Me dit la tante d'Alessio.

- Elle aime bien être organisée, elle est comme ça depuis qu'elle est petite elle l'a prit de sa mère.

- Bah j'aime pas tout faire à la dernière minute je préfère prévoir. Et préparer un mariage ça prend du temps.

- Je préfère aussi que ça soit fait à l'avance comme ça on n'oublie rien. Me soutient mon fiancé.

J'entends soudain mes filles pleurer, je m'apprête à me lever mais Alessio m'arrête.

- Les nounous sont avec elles, finit ce que tu disais.

Je me rassois.

Je continue d'organiser tout ça avant de les libérer.

Il serre mes cuisses en remontant un peu et commence à déposer des baisers dans mon cou.

Je tourne la tête vers lui et l'embrasse.

- On a du travail Alessio.

Il soupire.

- J'ai envie de passer du temps avec toi moi.

- Il faut surtout que t'ailles passer du temps à l'ouverture du club.

- Je peux aussi passer du temps à l'ouverture de tes cuisses.

J'explose de rire.

- Arrête de dire n'importe quoi ! Va-t-en aller.

Soudain son téléphone retentit.

Il répond alors que je me lève de ses genoux.

Son visage change d'expression ce qui me fait comprendre que quelque chose ne va pas.

Il se lève en panique.

- Les flics m'ont cramés.

- Comment ça les flics t'ont cramé ?

- Ils ont tout sur moi Vera je suis mort ils viennent me chercher !

J'ai senti mon cœur lâcher.

Comment ça ils l'ont cramé ?!

J'entends klaxonner dehors.

- C'est eux ?

- Non c'est Alexio, je dois y aller.

- Mais où tu vas ?

- Le plus loin et le plus vite possible. Je trouverais un moyen de t'appeler, je t'aime. Dit-il avant de déposer ses lèvres sur les miennes.

Il disparaît aussitôt.

Je mets quelques instants à me rendre compte de ce qu'il se passe alors que la police arrive.

C'est arrivé si vite, il est parti.

Qui a balancé putain ?!

- Nous cherchons Alessio Titov.

- Il est parti y'a une heure. Mens-je.

- Vous savez où est-ce qu'il est allé ?

- Non, il ne m'a rien dit.

Je les déteste...

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