Chapitre Vingt-quatre

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Angelina
2008


Ce matin on est arrivé à Paris et je suis tombé amoureuse de cette ville. Les garçons ce soir jouent au stade de france et ils sont surexcités.

On est dans un joli hôtel, avec vu sur la tour effeil. Je suis entrain de fumer une clope sur le balcon et Tom me rejoins.

— On va se promener à sur Paris aujourd'hui ? Il me demande en mettant ses mains sur ma taille.

Juste nous ? Je demande en souriant.

Il hoche la tête.

— Et des gardes du corps aussi. Il me dit avec un rictus.

— Oui j'aimerais bien, en plus j'aimerais aussi m'acheter ma paire de bottes maintenant que j'ai eu ma paie. Je dis en écrasant mon mégot dans le cendrier.

— T'as déjà mille paires de bottes ! Il dit en soufflant d'exaspération.

Ce qui n'est pas faux mais, c'est mon petit péché mignon. J'adore les chaussures.

— Alors rectification : je n'aurais jamais assez de paires de bottes. Je dis en riant.

— C'est quoi comme paire ? Il me demande alors.

— C'est des Givenchy, je te montrerais.

Il hoche la tête et moi je vais m'habiller, car je suis encore en tenue de voyage. J'enfile une jupe noir et un bustier de la même couleur, des cuissardes noires en cuir et une veste noir en cuir oversize car dehors il fait pas spécialement chaud.

J'ai la flemme de me maquiller mais je mets quand même une petite couche de mascara pour être plus présentable et je suis prête.

— T'as fini ? Me demande Tom qui me regardait me préparer depuis avant.

— Oui c'est bon, on peux y aller.

On sors de l'hôtel et un van nous attends en bas, on monte dedans et Tom demande de nous déposer devant le Givenchy. Il arrête pas de râler pendant le trajet parce que je le traine faire du shopping alors que de base monsieur voulait juste se promener.

Chacun ses problèmes.

On arrive devant la boutique et Tom et moi sommes accueillis comme des rois. Dès fois j'oublie que c'est une star.

Une dame très bien maquillé et apprêtée nous demande de la suivre et nous installe dans un mini salon en retrait du magasin et nous sers à boire.

— Je vais faire du shopping avec toi plus souvent je pense. Je dis en rigolant quand la vendeuse me tend mon verre de champagne.

Tom me fait un clin d'œil, il profite clairement de la situation et la vendeuse me demande ce que je recherche.

— Les bottes en cuir noir Shark Lock en 37, s'il vous plaît.

Elle hoche la tête et nous laisse tous les deux.

37 ? C'est au rayon enfant qu'il fallait aller là. Dit Tom en se foutant de ma gueule.

— Et toi et ton 46 là, je te juge complètement.

— Je fais du 43 mon Ange, mais tu sais ce qu'on dit : grands pieds, grande bi-

Je lui donne un cou de pied dans le tibias pour pas qu'il termine sa phrase. On est entouré de personnel et même si je sais qu'ils font pas attention à notre dialogue, Tom est beaucoup trop à l'aise.

— En tout cas cette légende ne fonctionne pas avec toi. Je réponds pour le taquiner.

— C'est pas ce que tu disais quand je te prenais sur-

Mon Ange  ➶  Tom Kaulitz Où les histoires vivent. Découvrez maintenant