Alles für dich // TOME 1

46 • L'histoire se répète.

PDV ALESSIA

Le reste du trajet fut silencieux, et cela m'allait très bien.

Après plusieurs minutes encore passer dans cette voiture accompagné de Luc, dans un silence de mort, nous arrivons enfin chez ma tante Hélène.

Luc se gare, face a la porte du garage, puis éteint la voiture, mais ne me laisse pas sortir de celle ci de si tôt.

-Luc: Je te préviens maintenant. Ne pose aucune question. Ne fais aucune remarque. Ou tu finiras dans le même état compris !?

Je ne comprends pas de quoi il parle, mais mon coeur s'accélère, et ma gorge se noue de nouveau.
Je le sens au fond de ma poitrine. Il a recommencé. Et il l'a fait retomber dans ça.

Je le hais.

Je sers la mâchoire, puis descend de la voiture, en ne disant rien, n'ayant aucune envie de débattre là dessus.
Je pars à l'arrière de la voiture, y sors ma valise, et la faut roulé, avec moi vers l'entrée de la maison.
Tandis que, étrangement, Luc ne descend pas de la voiture et redémarre en partant a toute vitesse je ne sais où.

J'entre dans la maison, sans prendre la peine de toquer, apres tout je suis censée être chez moi ici...

En entrant une odeur, me prend au narines, faisant remuée min ventre.
C'est nauséabonde. Si je le pouvais je vomirais la maintenant.

Une sorte de nuage de fumée plane dans l'air.
Je me dirige vers le salon, ou se trouve, ma tante. Allongée sur le canapé, un joint a la main, et un bouteille de vin dans l'autre.

Sur la petite table, est étalée des cadavres de bière, et de bouteilles d'alcool en tout genre dont je ne prête pas attention.

Mon cauchemar est de retour.

[Ce n'est que le début.]

Je monte a l'étage, ou l'odeur, d'alcool, mélanger a plusieurs autres substances, se dissipe légèrement.
Par chance ma chambre, elle est fermée, ce qui me donne espoir que cette puanteur, ne se soit pas infiltré dans mon "entre".

J'ouvre la porte délicatement, et mis appart une vielle odeur, me rappellant qu'elle n'a pas était aéré depuis bien trop longtemps, cette odeur en bas n'a pas était jusqu'à ma chambre, et cela me rassure énormément.

J'ouvre ma fenêtre, laissant l'air frais d'Allemagne caressé lentement ma peau.

Je place ma valise sur mon lit, mais ne l'a défais pas pour l'instant.
Je repars en bas et ouvre chaque fenêtre une par une.
Je commence a ramassé, les corps vide d'alcoolémie disposé sur chaque meuble présent, et les jettent.
Je ramasse les vêtements de Luc et ma tante qui traînent eux aussi, et fais ça pendant encore 2 heures d'affilée.

Comment en une semaine, a t'il réussi à la faire tomber aussi bas !?
En pensant à lui...il n'est pas revenue depuis tout a l'heure...
Et nous savons tous comment cela va finir.

[L'histoire se répète.]

Après avoir placé, une légère, couverture sur Hélène, je pars en haut, enfilé des vêtements plus propre, afin de partir au bar de Rafe comme il me l'avait demandé.