Nos chemins se retrouvent. (BxB) mature

4. Tu n'es qu'une pute !

C'est la première fois que je préviens, mais il y aura une scène très difficile, donc attention aux âmes sensibles. Passez à la suite !

Ainsi, Justin se retrouva dans la forêt et ce qu'il vit le choqua énormément. Cela n'était pas possible ! Il se cacha pour ne pas être vu. Antonio était en train de rouler une pelle à un homme, plus âgé que lui de surcroît. Ce dernier était en train de lui palper les fesses en même temps. C'était donc pour cela que le roux l'avait laissé alors qu'ils étaient en train de finaliser leur travail. Cela l'énerva davantage. Il ne pouvait plus bouger de là sans risque de se faire prendre. Il était bloqué. Il ne voulait pas regarder mais la curiosité l'emportait encore une fois. C'était ainsi qu'il vit les deux hommes avoir un baiser très langoureux où leurs langues s'emmêlèrent dans une danse endiablée. Le châtain était hypnotisé par ce qu'il voyait. Il ouvrit encore plus les yeux lorsqu'il vit Antonio se baisser, ou plutôt lorsqu'il vit la main de l'adulte baissée la tête de son jeune amant. Ce dernier était à genou et s'occupa de lui baisser la braguette de son pantalon et de libérer le sexe gonflée du plus âgé. Il prit alors entre ses lèvres la virilité du brun et commença ses vas-et-viens. L'aîné gémissait bruyamment. Le cadet tournoya sa langue de temps en temps autour du gland et souffla dessus.

- Tu es très bon à cela mon petit... Tu le fais sans les dents en plus.
L'adulte posa ses deux mains au niveau de la tête du roux puis commença littéralement à lui baiser la bouche avec son instrument de plaisir. Il grognait tellement il prenait son pied. Il y allait à fond car toute sa hampe finissait dans la bouche d'Antonio qui avait son nez qui touchait de temps en temps l'aine du brun. Ce dernier prenait son pied à être maître de la fellation. Il explosa littéralement dans la bouche du roux. Justin put voir les restes de la semence de l'adulte qui coulait du mentin de son camarade.
- Nettoie bien ma bite ma salope. Et que ça saute.
Antonio s'exécuta. Justin ne comprenait pas pourquoi le roux ne disait rien à ce traitement dégradant. Mais il pensa ensuite que le roux aimait cela car il obéissait à tout ce que son aîné lui avait demandé et il avait été incroyable dans la fellation. Il devait le reconnaître, il savait y faire.

Son camarade se leva. Il vit l'adulte le rapprocher de lui pour l'embrasser à nouveau avidement. Il lui malaxait les fesses à travers le pantalon. Cela lui rendit de la vigueur. Il le retourna ensuite afin de le mettre face contre l'arbre.
- Penche-toi comme la pute qu tu es !
Antonio se cambra. Le brun lui déboucla la ceinture de son pantalon et lui baissa le vêtement jusqu'au raz de ses fesses.
- Tu as mis un jockstrap comme la pute que tu es. Tu es prêt à prendre ma bite dans ton cul.
Il gifla sa fesse. Cela fit rougir sa peau et le plus petit couina de douleur.
- Je n'ai pas le temps de te préparer mais tu dois être bien ouvert avec toutes les bites que tu prends.
- Je prends plus chère pour cela tu sais.
- Cela ne me dérange pas salope. Je vais te prendre à sec, je manque de temps.

Le brun se masturba et mit une protection autour de son sexe. Il se positionna et s'enfonçât en un coup de rein à l'intérieur d'Antonio qui cria sa douleur.
- Tu es quand même serré pour la pute que tu es. C'est si bon !
Le plus âgé commença alors les vas-et-viens à l'intérieur du plus jeune. Il grognait de plaisirs. Il accélérait la cadence en prenant appui sur les hanches de son partenaire. Justin entendit le claquement des peaux des amants. Antonio criait à chaque coup de rein. Son aîné prenait littéralement son pied car il accélérait de plus en plus. Il jouit rapidement dans sa protection et se retira de son amant. Il mit une claque sur les fesses de son amant.
- Je n'avait pas trop le temps aujourd'hui Antonio. Je te ferai jouir la prochaine fois, ne t'inquiète pas. C'est promis. Mais on m'attend en ville.
- C'est toi le patron.
- Oui mais voir la personne que je baise jouir me satisfait encore plus. Mais putain de réunion de famille. Il fallait que je me vide l'esprit. D'où mon insistance pour ce soir. Merci !
- Il n'y a pas de quoi. C'est mon travail après tout.