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L'avion planait depuis une trentaine de minutes déjà dans les airs . Je profitais de ce moment pour reprendre des forces dans ma cabine qui était presqu'aussi comfortable qu'un lit d'hôtel cinq étoiles. Il fallait que mon arrivée à la habana passe inaperçu. J'en avais éventuellement mes raisons.

Une légère tapote sur l'entrée de la cabine me sortit de ma phase de détente. Putain! J'étais enragé.

Je finis par ouvrir et une hôtesse se présentait là, juste sous mes yeux arborés de fatigue. Elle portait un uniforme kaki assez vulgaire et une sorte de chapeau rouge d'où s'échappait une touffe de tissu blanc recouvrait son chignon minutieusement coiffé. Elle affichait un grand sourire, aussi faux qu'elle en ferait jalouser l'idole des petites filles bien évidemment connue sous le nom de Barbie.
- Auriez-vous besoin de quelque chose, monsieur? me demanda-t-elle.

Ce sourire! Je le reconnaissais. C'était le même qu'avait toutes ces salopes qui voulaient que je les foudroie. Pas si étonnant finalement quand beaucoup affirment avoir eu des coups d'un soir avec des hôtesses de l'air. Elles étaient bonnes à tout faire et surtout à s'envoyer en l'air avec n'importe qui. Je parie que si je lui disais d'avaler ma bite, elle le ferait sans hésiter. Sauf que je n'en avais pas vraiment envie.
- Un double expresso, répondis-je sèchement.
- Un instant je reviens.

Elle réapparut quelques minutes plus tard avec un chariot sur lequel était disposé un plateau ménagé d'une tasse de café, d'une petite cuillère et d'un sucrier miniature. Je l'observai garnir la tablette devant moi puis s'en aller après m'avoir souhaité une bonne dégustation. Je refermai ma cabine avant de souffler de soulagement . Je saisis la tasse qui laissait paraître une mousse agréablement aromatique à la surface. Une carte s'en décolla pour ne retomber que dans la soucoupe. Je la pris, pas si étonné que ça. Il était écrit en noir sur blanc :

« J'ai un remède contre la fatigue. Rejoignez moi dans la salle d'eau n•2, celle à droite. »

Comme je disais, bonnes à tout faire.
Je laissai choir le bout de papier sur la sous-tasse. Je sirotais mon café parfaitement concocté. Il était amer et savoureux, tel que je l'appréciais. Je pris à nouveau la carte entre mes doigts, jouant avec et pensif à l'idée d'aller rejoindre l'hôtesse. Mais pourquoi pas en fin de compte? Un plan cul me permettrait de déstresser et d'oublier ma fatigue.

Je décidai donc de donner une chance à l'hôtesse en lui faisant grâce de ma présence dans la salle d'eau. Lorsque j'y accédai, je pris le soin de verrouiller la porte derrière moi,  si l'on pouvait ainsi qualifier cette chose. Je ne la voyais pas mais je sentais son parfum bon marché rendre l'atmosphère irrespirable. Une voix me parvint.
- Vous en avez mis du temps.

Elle daigna enfin se montrer et ne semblait plus dans son rôle de robot des airs. Elle avait retiré son chapeau de service ainsi que son énorme veste, laissant paraître un chemisier blanc qui taillait parfaitement sa poitrine généreuse. Elle s'assit sur l'évier, me faisant signe d'approcher en agitant son index. Je n'étais pas du genre à me soumettre mais donnons à cette idiote ce qu'elle voulait. Je m'avançai donc vers elle pendant que sa jambe droite se levait progressivement pour se fixer dans mon entrejambe. Son talon aiguille rouge tomate tripotait ma bite puis redescendait jusqu'à mon quadriceps pour se stagner. Je baissai le regard, observant les mouvements de son pied avant de l'attraper violemment par la gorge. Elle avait toujours ce sourire de garce scotché aux lèvres. Ce qui avait plus le don de me mettre hors de moi.
- Que veux-tu? lançai-je.

Je le savais. Mais je voulais que cela sorte de sa bouche. Je voulais qu'elle me supplie de la foudroyer. J'aimais me sentir au dessus des autres. Savoir que j'étais le seul à leur offrir un service qu'ils ne trouveraient pas ailleurs... C'était l'une de mes qualités. Faire avouer aux gens surtout aux femmes leurs plus profonds désirs.

Elle me répondit plus sérieusement.
- Baise-moi! Baise-moi comme l'Apollon que tu es. Je veux que tu me sautes jusqu'à ce que je n'en puisse plus.

Je la fixais droit dans les yeux. Elle avait un regard brulant et purement noir. Ce même regard qu'ont les nymphomanes, réduites à une vision du monde en adéquation perpétuelle avec le plaisir charnel. Je me penchai vers son oreille pour lui chuchoter:
- Prouve-moi que tu mérites véritablement ma queue.

Elle sourit une fois de plus. Sauf que ce sourire n'en disait rien qui vaille. Elle descendit lentement du lavabo au design marbré noir, maintenant toujours le contact visuel. Ce qui me fit retirer ma main de son cou. Je la vis s'abaisser vers mon pantalon et dégainer ma ceinture. Le tissu qui m'avait coûté une blinde s'affala sur le sol au risque de se froisser. Peu importe! Il aura fait son temps.

L'hôtesse n'hésita pas à baisser mon boxer. Ma troisième jambe pendouillait vers elle, dans la traitre espérance d'être stimulée. Lorsque sa langue se posa sur ma verge, un frisson me traversa. Elle l'avalait goulûment comme si on l'eut affamée depuis des années. J'avais enfoui mes deux mains dans ses cheveux lui imposant le rythme que je voulais, vibrant mais assez rude. Je commençais à apprécier ce qu'elle faisait. Elle avait de l'expérience cette femme.
Je la voyais s'efforcer à engloutir toute ma bite mais elle n'avait apparemment pas une gorge si profonde que ça. Elle désista au bout de quelques minutes. Je me retirai de sa bouche, la voyant alors déboutonner son chemisier. Un soutien-gorge noir soutenait ses gros nichons que je voulais à tout prix sentir sur ma bite. Je dirigeai mon penis dur et pointant vers le milieu de ses seins afin de le frotter contre sa peau. Elle dut le comprendre vu le sourire qu'elle affichait. Ses mains s'orientèrent dans son dos pour dégainer le bout de dentelle qui l'empêchait de me faire une branlette espagnole. Deux paires rondes aux mamelons peu visibles apparurent devant mes yeux. Je plongeai sans tarder mon penis entre ses seins. Elle les faisait monter et descendre et bientôt, j'avais les couilles en feu. Fais chier! Elle savait bien s'y prendre.
- Assez! grognai-je.

Elle s'arrêta machinalement avant de se relever délicatement. Elle vint par la suite coller son corps au mien. Je sentais ses tétons durcis contre ma chemise noire et cela m'excitait. Je posai mes mains sur ses hanches fines puis commençai à l'embrasser dans le cou. Elle poussait de légers gémissements qui ne faisaient qu'augmenter la taille de mon pénis. Je grimpai à son oreille lui murmurer:
- Tu mérites d'être punie. Tu sais pourquoi?
J'embrassai son oreille, la sentant se ramollir. D'une voix fébrile, elle reprit:
- Non, hmm... Dites-moi.

Ses mains avaient infiltré ma chemise et se baladaient sur tout mon torse pendant que sa tête avait basculé d'elle-même en arrière. Je déposai une ligne de baisers depuis sa clavicule jusqu'au bout de son menton  avant de mettre fin au suspens qui régnait.
- Une employée qui force un client à la baiser, descendis-je habilement à son sein gauche. Que diraient tes supérieurs s'ils l'apprenaient?

Je malaxais son nibard. Ce qui la faisait extrêmement vaciller. Elle lâcha un profond soupir suivi d'une brève réponse.
- Je... Baise-moi maintenant.
- Où est passée la politesse? dis-je lentement et sarcastiquement.

Je m'aventurais à soulever sa jupe tout en posant ma question, lui caressant ses cuisses lisses et fermes. Ma main parvint jusqu'à son dessous que je glissai sur le côté . Je tapotai de deux doigts son vagin et fut accueilli par sa mouille. Elle frémit avant de décider d'elle-même d'ôter sa lingerie. Elle était vachement en chaleur cette pute.
Elle tira sur le col de ma chemise me rapprochant plus de l'évier où elle s'était assise, ses jambes largement écartées. Je percevais sa chatte rose clignoter et m'interpeller. Je ne pus résister à cet appel bien trop alléchant. Je passai donc sa jambe gauche par dessus mon épaule pendant que l'une de mes mains tenait fermement sa cuisse droite. J'entrai en elle et acheminai des coups de reins intenses qu'elle n'était pas prête d'oublier.

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