Chapitre 15 : Notre bonheur avant tout !

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Luca et Dayna

Luca et Dayna ✨

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Pov : Luca

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Pov : Luca

Voilà deux jours que Dayna est avec moi. Elle est venue assister à une conférence, elle pourra aussi y participer. Pour cette occasion, nous sommes partis faire du shopping pour lui acheter la tenue parfaite. Nous avons rapidement déposé nos affaires dans mon appartement, puis nous sommes sortis à nouveau.

J'ai une course illégale ce soir. Je prends la moto et me dirige vers l'entrée où elle m'attend. Elle monte, met son casque, et dès que ses mains sont enlacées sur mon ventre, je démarre et m'éloigne rapidement, ne laissant que de la fumée derrière nous. Nous arrivons à l'endroit prévu pour la course de ce soir. Comme d'habitude, le lieu est différent, nous le changeons pour éviter que la police nous trouve. Ces derniers temps, ils se penchent de plus en plus sur les courses illégales, et tout ça à cause de plusieurs facteurs. Ce qui a fait déborder le vase, c'est quand une journaliste a réussi en toute discrétion à entrer et à prendre des photos. Ensuite, toutes les bagarres qui éclatent à chaque fois entre les participants n'arrangent vraiment pas la situation. Ces bagarres deviennent de plus en plus violentes, avec des armes blanches et ces bagarres ont beaucoup affecté les courses. Nous avons dû faire une pause, et nous voilà maintenant de nouveau ici. C'est la première fois qu'on se trouve dans ce lieu. Je me gare, puis avec Dayna, on se mêle aux personnes présentes. Comme Dayna m'accompagne à chaque fois, elle réussit à bien s'intégrer et même à se mélanger avec les autres filles. Son italien n'est pas encore très bon, cependant, je suis trop fier d'elle, car elle s'est beaucoup améliorée et est capable de tenir une discussion.

Je l'observe de loin alors qu'elle est en train de rire avec quelques filles. Je me tourne lorsque j'entends mon prénom, j'attends la cigarette puis je hoche la tête en direction de l'organisateur, ensuite, je vais la rejoindre.

Dès qu'elle me voit, elle s'excuse auprès des filles puis s'approche de moi. — C'est l'heure.

Elle me fixe avec un sourire, ensuite s'approche et m'embrasse. Je pose mes mains sur ses hanches et l'approche davantage. On entend la foule crier et nous lancer un tas de mots du genre "Allez dans un hôtel." On finit par s'éloigner et puis j'aperçois de l'inquiétude à travers ses iris.

VITO COLUCCI - TOME 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant