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Aria

Les paroles que ma maman me répéter sans cesse lorsque j'étais petite résonne dans mon esprit.
Ma tête me fait atrocement souffrir.

« Donne ta confiance uniquement au personnes qui prouverons en être digne »

C'est mots me font ouvrir les yeux dans un sursaut.
Je regarde autour de moi et tombe sur le regard d'une infirmière elle tressaute les yeux grand ouvert.
Elle m'abandonne ensuite en sortant de la pièce, je me retrouve seule.

Je remarque que je suis à l'hôpital allonger dans un lit d'hôpital et cette odeur de médicaments me retourne l'estomac.

L'infirmière revient dans la chambre un médecin à ces côtés.

— Bonjour, je suis le docteur Williams, comment te sens tu ?

Ma tête tourne de gauche à droite les yeux affolés.

— Pourquoi suis-je à l'hôpital ?

L'homme dans ça blouse blanche s'approche de moi jusqu'à placer ça mains sur mon épaule.
Son visage sans expression me fait peur.

— Tu ne t'en souviens plus ? L'accident, ta mère et ta soeur..

J'ai d'un coup des sortes de flashbacks du visage apeuré de ma mère a travers le rétroviseur.
Les cries d'horreur de Daisy.
Mes cries.

Du sang.
Mes mains en sang.

Je relève la tête vers le médecin les yeux remplis de larmes.

— Où sont-elles ?

— Je suis navrée, ta soeur et ta maman ont était tuer dans l'accident.

Mon souffle ce coupe.

J'assimile les mots que vient de révéler l'homme.

Tuer.

Accident.

Tuer.

Tuer.

Elles sont mortes.
Toute les deux, tuer dans l'accident.

Ma respiration est saccadée et ma tête tourne.

Pourquoi, je ne suis pas morte ?

— Qu'est-ce qu'il c'est passé ? Je demande dans un sanglot.

— Un automobiliste a grillé le feux rouge, il vous a foncé tout droit dessus.

— Pourquoi je suis encore en vie ? Ma soeur et ma mère ne devaient pas mourir elles ne ... ne pouvaient pas mourir.

— Je suis désolé mademoiselle Green mais.. elles sont mortes sur le coup.

Un craquement dans mon coeur me fait pleurer encore plus fort.

Le médecin et l'infirmière s'excusent puis sortent de la chambre pour me laisser seule.
Seule avec mes pensées et mon chagrin.

Je passe mes mains sur mes joues pour effacer les larmes qui ont mouiller ma peau rougit.

Les larmes invisibles qui coulent à l'intérieur, sont les plus difficiles à sécher.

The older brother Où les histoires vivent. Découvrez maintenant