The older brother

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Aria

Nous avons notre premier rendez-vous ce soir.
Mon premier rendez-vous avec un garçon qui compte réellement.

Je suis toute excité et stresser à la fois.

Il est au alentours de dix neuf heures lorsque je descend les escaliers pour le rejoindre.

Je le cherche d'abord dans le couloir et le salon mais il n'y est pas.
Je décide donc de sortir à l'extérieur de la maison, et enfin je le vois.

Je m'arrête sur le porche de la maison observant ça mustang stationné devant. Clarke termine ça clope, adosse à la portière côté passager.
Il garde son attention poser sur moi, puis il écrase sa cigarette du bout de sa chaussure et se redresse lorsque je m'avance vers lui.

— Salut.

— Salut, tu est sublime.

Mon regard ce baisse vers mon corps habiller d'un simple jean ainsi qu'un haut violet au manches bouffantes.
Je lui sourit puis il m'ouvre la porte côtés passager ou je prend ensuite place.

Pendant le trajet, ça mains reste poser sur ma cuisse me fessant frissonner tout le long.

Clarke se gare après une demi-heure de trajet il sort du véhicule et je le suit.
Il me tend sa mains pour me mener à un restaurant.

La soirée et parfaite.
Nous dînons ensemble en discutant de tout avant de quitter le restaurant quelques heures plus tard.

Je rit au éclat lorsque nous approchons de la voiture.

— Je m'en souviens très bien ! Tu était un vrai idiot.

Nous nous séparons pour monter dans le véhicule.
Clarke m'avais remémoré un anniversaire d'Ellie où il m'avais aspergé d'eau alors qu'il fessais moins cinq à l'extérieur.

— J'étais un idiot parce que j'étais déjà fou de toi à cette époque.

— Parce que tu est fou de moi ? Je demande en levant un sourcil.

— Je peux te le prouver.

— Vas-y, prouve, je sourit.

Il attrape violemment ma taille pour me soulever et m'assois sur ses genoux.
Nos jeans ce frottent l'un à l'autre.
Mon nez et coller au sien nos souffles frappant contre nos joues.

— J'ai atrocement envie de toi, me murmure-t-il.

— Ça ne prouve rien..

— Offre moi ta première fois.

Le souffle coupé je ne sais plus quoi répondre, donc, j'utilise l'humour.

— Qui te dit que je suis encore vierge ?

— Et bien, ce serais préférable si tu ne veux pas que je tue un gars ce soir.

J'explose de rire.

— Alors ? Qu'est-ce que tu en dit ?

Comme simple réponse je l'embrasse.

— Rentrons, je lui souffle.