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Clarke

Des cheveux blond me gratte le bout du nez.

Je me redresse dans mon lit en essayant de ne pas réveiller la fille allonger à mes côtés pour rejoindre la salle de bain ensuite.

Pourquoi est-ce que je suis autant perplexe ?

L'image d'Aria s'approchant de moi pour m'embrasser tourne en boucle dans ma tête.

Je rejoins la cuisine ou je remarque mon père près de la cafetière ce servant une tasse de café bouillant.

Nos regard ce croisent mais aucuns mots et échanger.

Je ne sais pas vraiment ce qui c'est briser entre lui et moi. Cela fait des années déjà que notre relation est aussi bancale.

Les événements des dernier mois ont fait empirer la choses.

Ma mère nous rejoins en apportant avec elle la bonne humeur et la gaité.

Puis, petit à petit Ellie, Chase et Aria arrivent à leurs tour dans la cuisine.

Je la fixe quelques secondes et remarque à son expression qu'elle et intimide de ressentir mon regard sur elle.

Jusqu'au moment où la blonde qui m'a aider à me défouler hier soir arrive elle aussi dans la pièce.

Mes sourcils froncer la fait grimacer de peur.

— Oh, bonjour, Déclare ma mère.

— Bonjour, désolé je-

— Elle allais partir.

Toutes les têtes ce tourne vers moi étonné du ton froid que j'emploie.

Mais, putain je vais devoir donner des explications à ma mère maintenant !

— Euh.. oui, oui je dois y aller.

Elle prend la fuite par la porte d'entrée.

— Chéri, tu-

— Je sais maman.

Ma mère me sourit.

— Si lui peux ramener c'est conquête ici, pourquoi moi je ne n'en et pas le droit ? Demande ma soeur.

Mes parents la lorgne, en colère.

— Parce que je risque de commettre un meurtre, tu ne voudrais pas voir ton grand frère derrière des barreaux le reste de ça vie ?

— Tu est si... gentille mon frère.

Tout le monde explose de rire.

Mon géniteur embrasse ma mère puis sort à son tour de la maison pour partir au travail.

Je prend place autour de la table pour prendre mon petit déjeuner assis en face d'un petite rouquine au yeux bleu.

Ces yeux justement, scrute mon visage quelques secondes intense pour détourner le regard ensuite.

Elle discute avec ma soeur et je me permet de la mater.

Elle viens de ce lever mais son visage et si pétillant et joyeux qu'on ne dirai pas qu'elle sort à peine du lit.

Nous arrivons au Lycée en nous séparant chacun de leurs coter.

Je retrouve Harvey devant les portes de l'établissement.

— C'était comment avec la-

— Harvey ?

La douce voix d'Aria me fait frissonner.

Je déteste entendre ce prénom sortir d'entre ces lèvres.

— Aria.

— Est ce qu'on pourrais parler ?

La bonne humeur de mon ami disparaît.
Ça n'est jamais bon signe lorsqu'une fille pose cette question à un mec.

Ils s'en vont plus loin dans un petit coin du couloir.
Je reste l'épaule poser sur un casier à les regarder discuter.

Au bout de cinq bonne minutes ils ce prennent dans les bras puis ce séparent.

Harvey arrive vers moi en tirant la gueule jusqu'au sol.

— Elle m'a plaqué.

Et, pourquoi je suis content d'entendre ça ?

Je tourne la tête vers Aria qui paraît gêné au vue de son visage rougit.

— Pourquoi ?

— Apparemment, elle n'ai pas prête a sortir avec quelqu'un, elle préfère être seule.

Je comprennent qu'elle ne soit pas prête à avoir de petit ami, Aria à perdu ça seule famille il y'a quelques mois à peine.

Elle essaie de vivre normalement mais je le vois bien dans ces yeux que quelques choses lui manque.

A la fin de la journée je patiente devant le lycée que les filles me rejoignent pour que nous rentrions ensuite à la maison.

Au loin je vois la petite rouquine marcher dans ma direction.

Elle s'arrête à quelques pas de moi les bras croisés sous ça poitrine un sourcils lever.

— On peut rentrer ?

— Je fini ma clope.

Elle soupire puis tourne sur elle même pour regarder autour.

Quelques lycéen curieux nous scrute.

Voir le populaire du lycée avec une fille banale comme Green, ça rend les gens intéressés.

— Ou est Ellie ?

— Elle est rester à la bibliothèque pour réviser.

J'hoche la tête en tirant ma dernière latte puis nous rejoignons la voiture.

C'est étrange de la voir assise à mes côtés.

Elle est toujours assise derrière et.. l'avoir aussi proche de moi me déconcentre dans ma conduite.

Nous arrivons au centre ville lorsque je la regarde du coin de l'œil.

— Donc, tu n'est pas prête à avoir de petit copain ?

Je la vois tourner la tête vers moi en fronçant les sourcils.

— C'est ton pote donc bien sur qu'il t'a tout raconté..

— Ouais.. alors, quel est ta réponse ?

— Je n'ai pas envie de parler de ça avec toi.

— Et pourquoi ça ?

— Parce que, et puis depuis quand ma vie amoureuse te regarde ? Je me mêle moi de tes plan cul foireux que tu ramène à la maison ?

Un rire nerveux sort d'entre mes lèvres.

— Pourquoi, ça te dérange peut-être quand je ramène des filles dans ma chambre ?

— Oh, bien sûr je suis morte de jalousie Clarke, ironise-t-elle.

Je ne sais pas pourquoi mais je sens une pointe d'énervement dans ça voix et.. j'aime beaucoup énerver cette fille.

Surtout lorsque ces magnifique yeux bleu me fusille du regard.

— Il y'avais un petit peu de vérité dans cette phrase.

Et, elle me fusille du regard.

Je me ne me retien pas de sourire face à son air énervé.

— Pourquoi a tu répondu à mon baiser ?

Une voiture me dépasse par la droite et je sens mes mains resserrer le volant.

En réalité je ne sais pas quoi répondre.

— Je te le déjà dit, j'étais bourrer, tu sais qu'en on et bourrer on fait des tas de choses étrange.

— Ouais, j'en et fait l'expérience en t'embrassant.

Cette fois c'est moi qui la fusille du regard et elle paraît très heureuse de m'agacer.

The older brother Où les histoires vivent. Découvrez maintenant