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Clarke

Les employés nettoient les gradins tandis que nous terminons notre match.
Philips me lance la balle je pivote sur place puis me met à courir, Harvey me fait signe de le lui passer la balle.

Je la lance et il l'attrape Harvey percute violemment un des joueur qui tombe au sol.
La balle atterri dans le but.

L'entraînement terminer, nous rejoignons tous les vestiaires.
Nous sommes en plein mois de juillet et la chaleur et épouvantable je n'attend qu'une seule chose c'est de prendre une douche froide.

Apparemment je devrais attendre encore un peu.
Julie m'attend dans le couloir qui mène au vestiaire, elle me sourit provocante.

— Bonne chance, mon pote ! S'exclame Harvey en me mettant une tape dans le dos.

Je lève les yeux au ciel.

Les filles du lycée font la queue pour pouvoir être dans mon lit, j'aime ça.
J'aime plaire et sauter n'importe quel meuf à n'importe quel heure de la journée.
Elles savent toutes que je ne cherche pas du sérieux, c'est uniquement pour le sexe.

J'approche de la belle brune qui me reluque sévèrement.
Nous avons passer la nuit ensemble et, elle et apparemment très attaché.

Merde.

Je suis un vrai connard avec les femmes elles même le savent.
Apparemment Julie a mal compris cela.

— Salut.

— Qu'est que tu fous la ?

— Je suis venu te regarder a l'entraînement.

— Ok, maintenant que tu ma «regarder» tu peux repartir.

Je m'apprête à partir et l'abandonner dans le couloir mais elle m'en empêche.

— Ça te dirais de venir chez moi ce soir ?

Qui refuserait une invitation pareil ?
Sûrement pas Clarke Allen.

— Ouais, vingt-deux heures chez toi, j'affirme.

Elle sourit, ravie.

L'eau froide me fait un bien fou.
Mes muscles ce détendent et ma peau frissonne de tout son long.

Je suis accro à cette sensation de réussite et de satisfaction à la fin de chaque match que ça soit un entraînement ou un match de qualification.

Nous sortons des vestiaires après nous êtres laver et changer, Harvey à mes côtés.

Je grimpe dans ma mustang et met le contact pour quitter le parking du Lycée.

Quelques minutes plus tard, je me gare derrière la voiture de ma mère devant le garage de la maison.

J'entre dans la maison et grimpe directement à l'étage pour rejoindre ma chambre.

La main sur la clenche j'ouvre ma porte lorsqu'au même moment la porte de la chambre d'amis en face de la mienne s'ouvre.

Ma soeur en sort elle ce tourne ensuite à nouveau pour câliner une fille plus petite qu'elle.
Je reconnais c'est cheveux auburn aussi orangée qu'une feuille d'automne.

Aria Green.

Les filles ce séparent pour me remarquer ensuite.

Ma petite soeur s'approche de moi en remarquant que je me pose des questions.
Elle me pousse dans ma chambre et entre à son tour en refermant derrière elle.

— Qu'est ce que Green fait chez nous ?

— Maman lui a dit qu'elle pouvais vivre chez nous.

Je lâche un rire nerveux.

— Et maman et au courant qu'elle n'est pas la seule à habiter dans cette maison ?

— Papa a dit oui et moi aussi, donc ton avis compte peu.

— Oh, vous vous foutez de mon avis ? Cette meuf va vivre dans la chambre en face de la mienne !

— Je peu savoir quel et la raison de ta colère envers Aria ? Elle ne t'a jamais rien fait !

— Je ne l'aime pas.

— Il faudra t'y faire.

Mon regard emplis de haine scrute ma petite soeur, lorsque cette dernière ce met à pleurer.

Malgré ce que les autres peuvent penser, j'ai un coeur et surtout lorsque je vois une personne de ma famille être en pleure face à moi.

Je m'approche d'elle et la prend dans mes bras.

— Excuse-moi petite soeur.

— Fait un petit effort Clarke. Aria viens de perdre les deux personnes les plus importantes de ça vie, elle ce retrouve toute seule.

— D'accord, je ferais un effort, un petit effort.

Elle relève la tête en essuyant ces joues puis elle me sourit.

Aria est la meilleure amie de ma soeur, hors je ne la porte pas dans mon coeur.
Je ne lui donne pas d'importance elle est tel un fantôme dans ma vie.

The older brother Où les histoires vivent. Découvrez maintenant