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Aria

Plus de deux semaines maintenant que Clarke essaie de ce faire pardonner.
Et, je suis morte de rire à chaque fois qu'il fait quelque choses qu'il pense être parfait pour que je lui pardonne.

C'est si drôle de le voir faire de son mieux pour être digne de mon pardon.

Malheureusement pour lui, il s'y prend mal.
Ce n'est pas avec un ou deux bol de céréales et un déjeuner que je risque de lui pardonner.

Lorsque je rejoins la cuisine ce matin je remarque directement un petit déjeuner préparer sur la table à manger.
Un mot sur lequel est écrit mon prénom me montre que c'est délicieux oeuf brouiller et les deux morceaux de bacons sont pour moi.

— Oh, qu'est-ce que c'est cela ? Demande Anna qui arrive à son tour dans la cuisine.

— Mon petit déjeuner, préparé par Clarke.

— Par.. Clarke ?

Au même instant, ce dernier entre à son tour dans la pièce.

— Quoi, Clarke ?

Anna ce tourne vers son fils puis elle ce met à sourire.

— Tu a préparer le petit déjeuner d'Aria ?

Je retiens mon sourire en me mordant la lèvres du bas mais Clarke le remarque il lève les yeux au ciel.

— J'y crois pas ! Clarke t'a préparer un petit déjeuner ?!

— Oui, je lui et préparer le petit déjeuner maman.

— Et je peux savoir pour quel raisons ?

— Il a des choses à ce faire pardonner.

Clarke me menace du regard lorsque j'avoue a Anna que son fils essaie de ce faire pardonner de quelque chose.

C'est étrange c'est vrai.
Qui aurai penser un jour que Clarke Allen, LE Clarke Allen aller faire autant d'effort pour ce faire pardonner.
Alors que, nous sommes d'accord au début de mon emménagement chez eux, j'aurais pu être entrain de mourir si il ne s'excusait pas qu'il ne l'aurais pas fait.

Je m'empourpre ça cette pensée.

Et cela dure une semaine de plus.

Il continue encore à me ramener des petit déjeuner copieux que je ne termine jamais mais il continue tout de même le lendemain.

Aujourd'hui en arrivant au Lycée Clarke à retirer mon sac à dos de mon épaule pour le porter lui.

C'est petites chose me font rire et me chamboule à la fois.

Pourquoi fait t-il autant d'effort pour moi ?

Le soir, il et au alentours de dix-neuf heures lorsque j'entends frapper à la porte de ma chambre.

— Entrez !

Je repose mon livre et relève la tête vers la porte qui s'ouvre sur Clarke.

— Je vais au fast-food, est ce que tu veux quelque choses de spécial ?

Son regard sérieux me fait craquer, j'explose de rire.
Il ne comprend pas apparemment, au vu de ces sourcils froncer mais je ne peux m'arrêter de rire.

— Qu'est-ce qui est si drôle ?

— Clarke.. je.. je t'es pardonner depuis un moment déjà, j'essaie de reprendre mon souffle.

Il referme la porte derrière lui et je le vois s'énerver, ces épais sourcils ce fronce.

— Et pourquoi ne pas me l'avoir dit avant ?

— C'était très drôle de voir Clarke Allen me préparer le petit déjeuner.

— Je ne suis pas un putain de pantin, Aria !

— Pourquoi tu t'énerve ? Ce n'est pas moi qui t'a demandé de faire mon petit déjeuner tout les jours !

— Tu m'a laisser continuer à faire c'est choses idiote.. et.. bizarre pendant presque deux semaines.

— Ça pour être bizarre, c'était bizarre, je rit.

A son tour je le vois ce détendre.
Il s'approche et s'installe au bord de mon lit.

Son corps et proche du mien et son visage à quelques centimètres, je peux ressentir son souffle chaud contre ma joue glacer.

— Tu m'a pardonner ?

— Mmh, arrive-je à répondre.

— Pourquoi ? C'est vrai j'ai était un sacré con avec toi.

— Tu est un sacré con.. mais, je ne suis pas rancunière.

Il hoche la tête.
Quelques secondes s'écoulent durant lesquelles nous continuons de nous fixer en silence.
Mon coeur bat à toute allure tandis qu'il s'approche (très proche) de moi et ces lèvres ce pose sur ma joues dans un baiser rapide.
Le souffle coupé et les joues bouillante je ne sais pas comment réagir je sourit timidement.

Il sort ensuite de ma chambre me lassant complètement perplexe et pleine de questions.

The older brother Où les histoires vivent. Découvrez maintenant