The older brother

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Aria

Le regard qu'il pose sur moi les trois prochains jours me trouble énormément.
Je ne sais plus trop comment réagir avec lui.

C'était un baiser ridicule sur la joue mais.. venant de Clarke et bien.. ça me surprend.
Il n'a jamais étais très doux.

Nous sommes vendredi soir lorsque nous rentrons du Lycée, Ellie me donne un coup de coude dans les côtes.

— Aïe !

Elle me sourit et me fait ensuite signe de la suivre.

— J'ai un copain !

Crie t'elle en me fessant sursauter lorsque nous arrivons dans ça chambre.

— Matt ? Je dit tout sourire.

— Ouais, on c'est croiser dans les couloirs du Lycée cette après-midi et il m'a embrasser !

Ma meilleure amie sursaute dans ça chambre tel un kangourou j'explose de rire lorsqu'elle manque de chuter contre son armoire.

Ces cheveux brun bouge dans tout les sens tandis qu'elle ce met à danser.

— Assis-toi et viens me raconter, tu commence à me donner le tournis.

— Ok, ouais il faut que je te raconte !!

Elle s'installe sur son lit à mes côtés.

— Je les remarquer le soir près du lac on a parler pratiquement toute la soirée ensemble et ensuite on a échangé nos numéros.

Je fronce les sourcils.

— Ça je le sais déjà, Ellie, je sourit.

— Mince.. ouais je sais, je suis trop excité !!

Nous rigolons toute les deux.

Ellie me raconte la suite de son début d'histoire avec Matt.
Il est dans la classe de seconde, lui et ça famille on déménager ici cette été.
C'est tout à fait le style d'Ellie.
Grande, blond au yeux bleu et une carrure musclé.

— Tu l'aime beaucoup ?

— Je l'aime beaucoup, affirme t'elle.

Je m'approche d'elle pour la serrer dans mes bras, nous restons allonger dans son lit dans les bras l'une de l'autre, silencieuse.

— Je suis vraiment contente de te voir heureuse, Ellie.

— Merci, Aria..

Un nouveau silence.

— Et toi ?

Je me redresse pour regarder ma meilleure amie en fronçant les sourcils.

— Tu a vue la psy du Lycée ?

— Oh, oui.. ça c'est bien passer.

Ce premier rendez-vous avec la Psy m'a fait du bien, j'ai juste un peu peur de la revoir et de tout balancer.

Je ne veux pas que les autres soit au courant de ce que je fait.

— Comment c'était ?

— C'était.. libérateur. Elle m'a poser des questions et j'ai répondu honnêtement ça m'a vraiment fait du bien de discuter de... mon deuil.

Elle hoche la tête puis pose ces lèvres sur mon front.

— Tu sais que tu n'ai pas seule ? Je suis là.. je serais toujours là.

— Je sais Ellie.. et je t'en remercierai jamais assez pour tout ce que tu fait pour moi.. ce que ta famille fait pour moi.

Je me redresse tout sourire et sort du lit.

— Mais je ne veux pas parler de ça maintenant.. j'ai entendu dire par une fille du Lycée qu'il y'avais une soirée de "folie" demain soir ?

— Oh, Oui ! C'est Jeffrey, il fête son anniversaire et c'est le type le plus fou de tout le Lycée. Ces fête son toujours sensationnelle !

— Ça a l'air génial ! On ira ? Dit moi qu'on ira ?

— Bien sur qu'on ira ! Apparemment il a prévue une sorte de pool party dans ça piscine intérieure !

— On sortira nos plus beau maillot de bain dans ce cas.

Plus tard ce soir la.
Je suis allonger dans mon lit les yeux fixant la porte.

Mes pensées ce mélange et repense à l'autre soir et au baiser si doux de Clarke.

Je prend mon courage à deux-mains et sort de ma chambre pour rejoindre le couloir ou je m'arrête devant la porte de ça chambre.

En prenant un bol d'air je frappe deux fois contre le bois.

J'entends du bruit à travers la porte jusqu'à ce celle-ci s'ouvre.
Sur la fameuse blonde au nom de Nelly Donovan.

Elle porte un des tee-shirt que Clarke enfile souvent et mon estomac ce retourne en remarquant que ces jambes son nue.
Ces cheveux sont ébouriffés et son sourire de peste me donnent la nausée.

Je le vois arriver à son tour derrière elle.

— Pousse-toi.

Nelly lève les yeux vers lui elle et embêté mais Clarke la fusille du regard, la blonde devient littéralement rouge puis elle disparaît dans la pièce.

Il referme la porte derrière lui pour s'approcher de moi.

— Tu voulais me voir ?

Je suis tendu et l'avoir à nouveau aussi près de moi me fait frissonner.

— Non.. non, je ... je vais dormir, désolé de vous avoir dérangé ta copine et toi.

Le ton que j'emploie et plein de mépris alors qu'en réalité j'ai l'impression que mes entrailles me brûlent de l'intérieur.

Je prend rapidement la fuite jusqu'à ma chambre et me laisse glisser contre la porte en tenant ma tête entre mes mains.

Idiote.

Idiote

Idiote