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Aria

2 mois plus tard

Allonger dans mon lit, sourire au lèvres je repense au deux derniers mois.

Je suis heureuse.
Je peux enfin le dire, je suis heureuse.

C'est tout ce que j'ai toujours voulu.

Les cicatrices sur mon corps sont désormais guérie.

Mon coeur est apaisé.

Il est minuit passer lorsque mon estomac ce met à gargouiller.
Je descend rapidement dans la cuisine et cherche un petit en-cas dans les placards.

Un bruit dans mon dos me fait sursauter.

— Mon dieu !

Lorsque je remarque qu'il s'agit de Clarke je me détend.

— Tu m'a fait peur, idiot !

— Désolé, je venais voir ce que tu fessais.

Je plante une cuillère dans le beurre de cacahuètes.

— J'avais faim.

Il s'approche de moi en affichant un sourire coquin.
Clarke me porte pour m'assoir sur l'îlot de la cuisine.

Il m'embrasse.

— Moi aussi, j'ai faim, murmure t'il près de mes lèvres.

Mon souffle coupé et ça respiration rapide résonne dans la cuisine.

— Emmène moi dans ta chambre, je lui chuchote.

Il ce sépare de moi.

— On est bien ici.

Je fronce les sourcils en ayant le coeur qui bat la chamade.

— Tu est fou, Clarke, tout le monde va nous entendre.

— Alors, essaie de ne pas faire de bruit.

Puis, rapidement il me pousse de façon à ce que mon dos percute à son tour le marbre de l'îlot.
Je me retrouve allonger dessus.

Clarke tire d'un coup sec sur mon bas de pyjama et ma culotte.
Ça bouche rencontre directement mon clitoris.

Ça langue chaude s'entortille autour de mon bouton sensible.
Je gémit.

Quelques minutes de longue torture plus tard l'orgasme me prend.

Clarke récupère mon pantalon mais sans m'habiller me porte comme une princesse et me mène à ça chambre.

Je me réveille le lendemain en ayant un mal de tête atroce.

La première choses que je rêve de faire est de prendre une douche brûlante. Mais, des coups sur ma porte m'en empêche.

Je soupir en ouvrant la porte à Anna.

— Bonjour, je marmonne.

— Bonjour, ma puce... je.. tu devrais descendre c'est important.

Mes sourcils ce fronce.

Lorsque nous arrivons dans le salon de la maison je trouve deux officiers de police au coter de Clarke et Ellie.

— Qu'est-ce qui ce passe ? Je demande.

— Vous êtes mademoiselle Green ?

— Oui.

— Nous avons retrouver le chauffeur qui a tuer votre sœur et votre maman.

Mon coeur ce serre.

Anna ce met à pleurer, je ne comprend plus rien.

— C'était lui, déclare, Clarke.

Je le questionne du regard.

— C'était mon père qui les a tuer, annonce-t-il.

The older brother Où les histoires vivent. Découvrez maintenant