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Clarke

Je ne sais pas ce que j'avais dans la tête pour lui dire que ce baiser était une erreur.
Car, c'était tout sauf une erreur.

C'était magique, explosif, dément, excitant, magnifique et sexy.

Mais, je n'ai pas eu le courage de lui avouer tout ça.

Les vacances de noël viennent de commencer et je suis déjà sur les nerf.

Je n'aime pas Noël.

Trois jours après la dernière journée de cours je décide de me défouler un peu à la salle de sport.

Ça me fait du bien de vider toute cette colère que j'ai envers moi.

Mes pensées ce mélange et je me mes à avoir l'image de mon père dans mon esprit.

Une dispute a éclater entre lui et moi hier soir devant tout le monde à la maison.
Je déteste cet homme.
Je peux dire que je n'ai pas de père dans ma vie.

Depuis ce soir la, je suis à cran et furieux avec tout le monde.
Je préfère sortir de là maison pour évacuer et décompresser.

Ce qui ne fonctionne pas très bien car mes pensées sont mes pires ennemis.

C'était une erreur.

C'était une erreur.

C'était une erreur.

Ce n'en était pas une, c'était le comportement d'un idiot perdu et enragé.

Tu est un con qui ne sait pas quoi faire pour avoir un peu d'attention ! Tu est pathétique ! M'avais dit mon géniteur.

Il à raison.

Mes mains sans protection frappe encore plus fort l'énorme sac de frappe accrocher au plafond de la salle de sport.

Lorsque je louche sur mes phalanges, je remarque que c'est derrière sont rougissantes.

Quelque heures plus tard j'entre à la maison et grimpe directement dans ma chambre pour prendre une douche et surtout ne voir personne.

Après ma douche, j'entends frapper à ma porte.

Ma mère entre dans la pièce en affichant un petit sourire.

— Comment vas-tu mon-

Elle remarque mes phalanges blesser.

— Clarke !

— Ce n'est rien maman.. j'ai seulement oublier de porter mes protections.

Elle lève les yeux au ciel.
Ma mère ne crois jamais en nos mensonges et elle fait bien.

Elle entre dans la salle de bain où elle revient avec du désinfectant et quelques compresses.

— Viens-la.

Nous nous installons sur le bord de mon lit puis elle m'aide en désinfectant mes blessures.

Un silence agréable s'installe entre nous jusqu'à ce qu'elle termine.

— Merci, maman.

— Qu'est-ce qui ne vas pas ?

— Je dirais.. tout, tout ne vas pas.

— C'est à cause de ton père ?

— Je n'ai pas envie de parler de ça avec toi.

— Ça me regarde tout de même ! Tu est mon fils et lui mon mari, en l'occurrence ton père.

— Maman je-

— C'est tu a quel point ça me brise le coeur de vous voir vous entretuer tout les jours ?

Je reste silencieux, coupable de ça tristesse.

— Fait un petit effort, Clarke je t'en prie.

— D'accord.. j'essaierai. Pardon maman.

Elle hoche la tête puis m'embrasse la joue avant de repartir.

Je me laisse tomber sur mon lit en essayant de contenir tout ce que je garde enfuie en moi depuis tant de temps.

Garder les choses pour soi est parfois la meilleure de solution.

The older brother Où les histoires vivent. Découvrez maintenant