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Aria

Sous ordre du médecin je reste encore quatre jours de plus à l'hôpital.

Et, bizarrement je m'y sens bien.

Je suis en vie et je suis très soulagé d'aller mieux.

La fatigue et encore présente dans mon corps je manque énormément d'énergie mais.. je suis légère.

Les quatre dernières jours à l'hôpital je les passe en bonne compagnie.

Clarke viens me voir dès le matin et m'accompagne toute la journée dans cette chambre déprimante et glauque.

Il me fait rire, m'apporte à manger et de la joie.

La colère que je ressentez envers lui c'est envoler en le voyant si gentil et attentionné.

Assis à la même place qu'à chaque fois qu'il vient je le contemple me lire le journal.
Un petit sourire fait redresser mes lèvres.

Il lève la tête vers moi puis me sourit à son tour.

— Tu te moque de moi ?

— Pas du tout, je trouve juste que tu a l'air de bonne humeur. Ça fait du bien.

Il plisse les yeux et mon rire explose dans la chambre.
Son regard intense me fixe.

— Ton rire m'avais beaucoup manquer.

— Mon rire seulement ?

— Aria Green, le retour.

Je sourit.

— Je suis désolé, Aria.

Nous encrons nos yeux et j'attend de savoir pourquoi il s'excuse.

— Pour t'avoir menti.

— Tu m'as menti ?

— Oui, je t'es dit que notre baiser était une erreur.

Mon coeur rate un battement.

— Et s'en était pas une ?

— Non, bien sûr que non.

Les papillons voltige dans mes reins et mon estomac, je sens mes joues brûler.

— Donc ?

— Je sais que tu ma déjà pardonner énormément de choses mais.. cette fois-ci j'espère vraiment que tu le fera parce que je suis un idiot.

— A une condition.

Car il me faut peu pour lui pardonner.

— Laquelle ?

— Je veux savoir si je te plaît ?

J'ai trouver un courage monstre depuis mon malaise apparement.
Il sourit puis ce lève de ça chaise pour s'approcher de moi.

— Je peux te prouver que oui.

Il et proche - très proche - son souffle frappe contre ma joue et son odeur de menthe qui m'avait tant manquer c'est dernier jours avant mon malaise me fait frissonner.

— Je veux bien, oui.

Il fond sur mes lèvres.
Le baiser et plus doux que le dernier, à croire qu'il a peur de me casser.
Mais je profite de ces lèvres douces et sensuelle qui me rende folle.

Il ce sépare de moi en me souriant.

— Contente ?

— Tu aurais pu mieux faire.

Il explose de rire et ce rassoit à ça place.

— Ne t'en fait pas, nous aurons tout le temps de «mieux faire», me murmure t'il.

Ça oui, nous aurons tout le temps.

A partir de cet instant, Aria Green ne mettra plus jamais ça vie en danger.
Je compte bien vivre et profiter de chaque moment qui me sont destinés.

The older brother Où les histoires vivent. Découvrez maintenant