The older brother

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Aria

Le lundi matin lorsque j'arrive au Lycée plusieurs élèves me sourit et me félicite.

Je questionne Ellie du regard elle tout aussi perdu que moi.

Jusqu'à ce qu'un garçon viennent à ma rencontre et me donne enfin la réponse à mes questions.

— Oh, Aria félicitations pour Harvey et toi vous formez un très beau couple.

J'explose de rire.

— Pardon ? Euh, Harvey et moi nous ne sommes pas ensemble.

— Vraiment ? Pourtant après le match il a annoncer a tout le monde que vous vous étiez remis ensemble.

Mes sourcils ce fronce et la colère me monte.

Je pivote sur moi même et trouve enfin Harvey debout devant son casier.

— Harvey !

Je crie littéralement dans le couloir.
Tout le monde ce tourne vers moi.

— Nous sommes en couple toi et moi ? Je n'étais pas au courant.

A quelques centimètres de lui je peux sentir ça respiration devenir rapide.
Son visage encore blesser, il grimace.

— Pourquoi a tu raconter à tout le monde qu'on était ensemble ?

— Il a fait quoi ? J'entends ça voix à ma droite.

Je le fusille du regard lorsqu'il s'approche de nous.

— Toi, je ne t'es rien demander !

Clarke recule d'un pas à cause du choque de mon crie.

— Et toi ! Je ne suis pas en couple avec toi ! Je suis à cran en ce moment alors, si quelqu'un a un putain de problème qu'il vienne me le dire !

Mes yeux ce pose sur chacun des élèves dans le couloir, j'ai l'impression que je fait peur à plus d'entre un.

Et je suis sérieuse.
Ce week-end m'a complètement transformé je suis en colère et peut-être un peu sur les nerfs.

Après ma petite annonce dans le couloir je rejoins le bureau de la direction ou je demande un rendez-vous avec la psy du Lycée.
J'ai un rendez-vous le jour même à seize-heure après mes cours.

Il et seize-heure tapante et je me retrouve debout devant la porte a hésiter.
Malheureusement pour moi, je ne peu plus continuer à me poser des questions car la porte s'ouvre.

Une dame âgée me sourit et me laisse entrer.

J'entre dans une pièce qui ressemble à un genre de petit salon confortable.
Une odeur de lavande ce dégage du canapé.

— Tu est Aria ?

— Oui.

— Bien, Aria.. dit moi, pourquoi a tu voulu me voir ?

Comment commencer...
Je prend une grande inspiration.

Le regard de la femme me donne assez de courage.

— J'ai.. j'ai perdu ma maman et ma soeur dans un accident de voiture.

Elle ce met à noter dans son carnet.

— Quand est-ce que cela c'est t'il passer ?

— Il y'a .. cinq mois.

— C'est encore délicat pour toi d'en parler.

— Oui.. je ..

Je ne continue pas.
Elle m'aide à me détendre ensuite en me posant des questions sur mon enfance.

— A la mort de ta maman, tu t'es donc retrouvé seule ?

— Oui.. la mère de ma meilleure amie m'a proposé de vivre chez eux, c'est avec eux que je vis depuis.

— Est-ce que tu te sens bien chez eux ?

— Oui, les Allen sont une famille génial ils sont tous très gentille avec moi et.. j'ai ma meilleure amie à mes côtés, c'est d'ailleurs elle qui m'a suggéré de venir vous parler.

— Pourquoi cela ?

La question que je redoutais tant.

Encore une fois, je prend une grande inspiration et en fermant les yeux je me lâche.

— J'ai des.. sorte de flash ou je vois ma maman, son visage et toujours.. plein de sang.

Lorsque j'ouvre les yeux, la dame me scrute en m'écoutant attentivement.

— Elle.. elle me dit de la rejoindre, elle me dit aussi que je devais mourir avec elles dans l'accident et..

— Et tu les crois ?

J'hoche la tête.
La psy pose son carnet elle ce redresse pour me regarder dans les yeux sérieusement.

— Tout ce passe dans ta tête, Aria. Ta soeur et ta maman te manques tellement que tu les vois dans des sorte de flash et.. tu t'en veux pour l'accident.
C'est toi qu'il faut convaincre que tu n'est pas la fautive, tu doit vivre.

C'est mots entre dans ma tête et j'essaie de me les répéter encore et encore.

C'est toi qu'il faut convaincre que tu n'est pas la fautive, tu doit vivre.

J'efface à nouveau les larmes qui coulent le long de mes joues.

— Est-ce que t'es fait du mal ? Physiquement ?

Elle verra sûrement que je mens mais je ne peu pas m'empêcher de ne rien dire.

— J'ai sauter du ponton mais le frère d'Ellie m'a sorti de l'eau.

— Tu a voulu en finir ?

— Ma mère le voulais.. je lui devais ça.

— Parce que tu a cru à ces paroles ?

Un nouveau hochement de tête.

— Tu n'a rien tenter d'autre ?

Je suis prête à tout avouer.
A lui montrer mes blessure qui me picotent et la supplier de m'aider a m'en sortir.

Mais, je ne le fait pas, au lieu de quoi j'hoche la tête pour répondre la négative.

Et je sort de ce rendez-vous tellement plus libre et soulager..