Aria
Assise sur le tapis de ma nouvelle chambre, je fixe le mur en face de moi.
Cela fait presque une heure que je suis dans cette position les questions ce mélangeant dans mon esprit.Des coups sur la porte me fait sursauter.
Je me lève du sol pour ouvrir.Ellie tout sourire me propose de venir dîner avec eux.
Je connais la famille Allen depuis quelques années déjà.
Annabelle, la maman est une femme ambitieuse et humble.
Mason, le père de ma meilleure amie est un pompier respecter de toute la ville, il et très entreprenant et gentil.
Chase, le petit dernier est un petit garçon très amusant et beaucoup trop intelligent.
Ellie, je n'ai plus besoin de la décrire, Ellie est une amie généreuse, belle, drôle. Je l'aime tellement.Clarke, le grand frère d'Ellie.
Je ne sais pas vraiment quoi penser de lui.
Ce qui est sure en tout cas, c'est que ce mec et le plus populaire de tout le Lycée. Quarterback de l'équipe de football, toutes les filles de l'établissement ont déjà était sauter par Clarke Allen.
Il ne m'apprécie pas vraiment, pourquoi ? Je m'en fiche.
Et, en réalité je ne le porte pas dans mon coeur non plus.Je prend place autour de la table au côtés d'Ellie à ma droite.
Chase me sourit en me montrant toute ces dents.Le silence me gêne, ils ce sentent obligés de ne pas rire ou discuter comme ils le font d'habitude à cause de mon deuil.
L'assiette poser devant moi me fait de l'œil, je meurt de faim.
Je remarque des légumes sautés ainsi qu'un morceau de poisson et du riz blanc.
Ellie découpe son poisson et je la copie.— Pourquoi tu a fait du poisson ? Demande l'ainé.
— C'est moi qui fait la cuisine, c'est donc moi qui décide du menu, s'exclame ça mère.
— Moi j'adore ton poisson maman, c'est délicieux.
— Oui, c'est excellent ma chérie.
— Delichieux ! Articule Chase.
— Aria, ça te plaît ?
Je lève les yeux vers Annabelle.
— Oui, c'est très bon merci Annabelle.
— Tu sais que tu peux m'appeler Anna.
Ma bouche s'entre ouvre pour répondre à ça demande lorsque la voix rauque de Clarke résonne dans mes oreilles.
— C'est donc pour cela que tu a fait du poisson, pour la rouquine.
— Clarke !
Mes yeux regarde tour à tour les personnes autour de la table tandis que je me rend compte qu'ils ce disputent par ma faute.
— Tu ne peu pas faire d'elle ta nouvelle fille maman, elle a déjà une mère.
— Clarke ! Tu est un vrai con, sérieux ! S'énerve Ellie.
Je me sens de trop autour de cette table.
Elle a déjà une mère.
J'avais, une mère.Après c'est mots qui résonne dans mes oreilles je préfère quitter la salle à manger et monter dans ma chambre.
Me retrouver seule et la meilleure thérapie.Allonger dans mon lit durant des heures et des heures je me lève et rejoins la salle de bain dans le couloir.
Je mouille mon visage à l'eau froide et m'apprête à brosser mes dents lorsqu'en ouvrant le placard je fait tomber un rasoir d'hommes, je m'accroupis pour le récupérer.
Mes yeux louche sur le rasoir entre mes mains quelques secondes.
Je devise la sécurité et récupère la lame à l'intérieur.
Dans mes mains, ce petit objet me fait mal au coeur mais malgré ça les flashs de l'accident m'assaille.
Les cries de ma soeur arrive à mes oreilles, me fessant frissonner.
Le regard de ma maman qui me rassure, alors que son visage et rougit par son sang.Ma respiration ce coupe.
Mes gestes sont automatiques.
J'abaisse mon pantalon et m'installe dans la baignoire de la salle de bain.
Mes larmes coulent jusqu'à tomber sur ma poitrine.Je doit le faire, pour elles.
Je mérite de souffrir.La lame a un millimètre de la peau de ma cuisse.
Je la laisse ensuite glisser.Blessant ma peau.
Laissant apparaître une ligne rouge de sang recouvrant le blanc de la baignoire.
Je me transforme, sans m'arrêter je continue de couper l'intérieur de mes cuisses une après l'autre jusqu'à ce que plusieurs traits rouge décor ma peau.
Je lâche la lame et pose l'arrière de ma tête sur la baignoire en respirant.
C'est quelques lignes douloureuse me font du bien.
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The older brother
RomansaUn accident mortel l'a rendu orpheline. Elle ce retrouve seule, sans famille. Les parents de ça meilleure amie décide de la laisser vivre chez eux. Les traces sur son corps ne fait que lui rappeler qu'elle aurais dû être la seule à mourir, pas eux...