The older brother

19 |

Clark

Tout le monde me regarde étrangement au lycée et cela dure depuis une semaine.
Depuis le soir ou j'ai bousillé le nez de mon meilleur ami.

Ils joue bien le jeu de l'innocent car tout les autre son a ces petit soins.

J'ai vriller en la voyant le prendre dans les bras pour le féliciter et ma colère est grimper en flèche lorsque j'ai compris qu'il l'avais invité pour fêter la victoire de l'équipe.

Harvey, n'existe plus pour moi désormais.

Mais, savoir à quel point Aria est énerver après moi après notre dispute.. ça m'agace.

Cela fait une semaine qu'elle n'a pas échanger un mot avec moi.

Je rejoins ma soeur dans ça chambre sans frapper assise sur son lit entrain de ce manucurer les ongles elle relève les yeux vers moi.

— Qu'est-ce que tu veux ?

— Où et Aria ?

— Ça ne te regarde pas.

— Tu joue à ça toi aussi ? J'en et marre de vos putain de caractères de gamines, Ellie !

— Pense ce que tu veux.

Je lâche un énorme soupir puis quitte la chambre de ma petite soeur pour rejoindre la cuisine ou je retrouve ma mère.

— Salut.

— Bonjour mon chéri... qu'est-ce qui ne vas pas ?

Ma mère me questionne du regard, je prend place sur une chaise et prend une bouffer d'air avant de lui raconter.

— Aria est en colère contre moi je voulais m'excuser au près d'elle mais elle n'ai pas à la maison et Ellie ne veux pas me dire où elle est.

Elle s'approche de moi et pose un petit baiser sur mon front avant de me murmurer :

— Tu devrais aller voir à la bibliothèque du Lycée.

Elle me sourit fièrement avant de mettre son index sur ces lèvres pour dire de me taire.

Je me retrouve vingt minutes plus tard devant le Lycée à rejoindre la bibliothèque.

Lorsque j'arrive dans la pièce tout et très silencieux je marche entre les étages de livres pour la trouver enfin.

Elle et assise à même le sol entre deux étagères, le nez dans un livre.
Je la vois sourire et mon coeur flanche.

Elle est belle.
C'est bien la première fois que je remarque la beauté de son visage, de son sourire.

C'est cheveux auburn sont attacher dans une queue de cheval basse laissant deux mèche sortir devant son visage pâle et souriant.
J'aime la voir souriante et apaiser.

Pour lui montrer ma présence je toussote deux fois puis ça tête ce lève vers moi.

D'abord surprise je retrouve ensuite à nouveau son regard fâcher.
Elle ne dit rien, simplement elle ne me donne pas d'importance et ce re concentre sur son livre.

— Il est bien ce livre ?

Aucune réponse.

Je décide de m'approcher un peu plus et de m'assoir moi aussi au sol face à elle.
Elle relève ces jambes en tailleur pour éviter qu'elles ne me touche.

— Est-ce qu'on pourrais parler ?

— Je suis occupé.

— Depuis que je suis arriver tu lis la fin de la même page.

Elle remarque que j'ai raison elle tourne donc la page mais je vois bien dans son regard à quel point je la déconcentre.

— Si tu ne veux pas parler, d'accord ne parle pas mais au moins écoute moi.

Je la vois replacer une des deux mèches de devant derrière son oreille mais elle ne me donne toujours aucune importance.

— Je suis désolé.. je suis sincèrement désolé de t'avouer crier dessus et d'avoir tout balancer à Ellie.

Enfin, ces yeux bleu me regarde.

— Tu est un énorme con, Clarke.

— Ça je le sais aussi.

— Pourquoi ne pas t'être excusé auprès d'Harvey ?

— Harvey a mérité que je le frappe.

— Il ta lui aussi bien amoché.

Elle essaie de m'énerver je reconnais bien son petit air de peste qui fait tout pour m'agacer.

En réalité, Harvey était plus blesser que moi.. mais il vaut mieux que j'évite de continuer de parler de lui avec Aria.

— Je suis venu m'excuser pas discuter d'Harvey avec toi.

— C'est la deuxième fois que tu viens t'excuser auprès de moi mais tu refait toujours les mêmes erreurs.

— Je suis un énorme con.. tu l'a dit toi même.

— Ouais, et je ne changerai pas d'avis.

Elle baisse la tête vers son livre où elle place le marque page là où elle le referme ensuite.

— Mais.. tu me pardonne ?

Ça tête ce relève vers moi, son regard intense et si beau me fait déglutir.

— Il faut me prouver que tu mérite mon pardon.

— Comment ?

— Surprend-moi.

J'affiche un petit sourire fier.
Je pense n'avoir jamais était aussi ravie d'un tel challenge.